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S I M M n°19
Le trimestriel d’information du
Comité Départemental de Spéléologie
de Meurthe-&-Moselle (54)

Dépôt légal n°1412 - 2e trimestre 2005 auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle
ISSN 1626-1267

Se former aux secours : 1er bilan
- Christophe PREVOT, président du CDS -

Depuis le dernier bulletin 2 Rencontres de Formation en Secours ont déjà eu lieu en mars et avril sur la structure artificielle du mur couvert du gymnase Provençal (quai René 2, Nancy). Ces rencontres ont permis à une dizaine de spéléos de l’Association Spéléologique du District Urbain Néodomien (ASDUN), du Cercle Lorrain de Recherches Spéléologiques (CLRS) et de l’Union Spéléologique de l’Agglomération Nancéienne (USAN) de se retrouver pour apprendre à mettre une victime en civière et découvrir les techniques de manipulation d’une civière en puits.

Lors de la première séance les participants se sont appuyés sur les connaissances de Martial MARTIN et sur le Manuel du sauveteur du SSF pour monter et démonter la civière (vieux modèle en toile des années 70) puis pour tenter de la monter avec une victime jusqu’à une plate-forme située à environ 5 mètres de haut. Diverses techniques ont été essayées comme, la traction par le bas avec un frein-poulie en blocage, la technique du balancier avec reprise de charge sur descendeur pour la descente.
La seconde séance a été entièrement animée par Bertrand BLANCHET, Conseiller technique adjoint du Doubs demeurant non loin de Nancy, spécialiste en tests de matériels et cadre sur de nombreux stages du Spéléo-Secours Français. Les participants ont alors pu apprendre les dernières recommandations du SSF quant à la mise en place d’une victime dans une civière, la façon de réaliser et de placer un nœud répartiteur, le vocabulaire commun à toutes les équipes du SSF quant aux manipulations de civière sur corde...

De l’avis de tous ces séances sont réellement très profitables et très enrichissantes. La formation dispensée y est de qualité et chacun est à même de juger des compétences acquises ou en cours d’acquisition. L’information sur les matériels et leurs usages est même profitable pour la simple pratique spéléo hors du contexte des secours. Ces techniques peuvent servir dans la vie d’un spéléo et sont utiles lors d’éventuels auto-secours si l’un des coéquipiers est fatigué ou légèrement blessé (cas où une civière est inutile).

Les 2 prochaines rencontres auront lieu le 10 mai et le 14 juin : n’hésitez pas à venir rejoindre le groupe en formation, vous serez les bienvenus !

Pour découvrir en images ce qui s’est passé lors de la 1ère Rencontre : http://photos.speleo.free.fr/category.php?cat=180&expand=34,179,180

États généraux de la spéléologie et du canyonisme
- Christophe PREVOT, président du CDS -

Fin février vous avez découvert une grosse enveloppe expédiée par la fédération qui vous présente les États généraux de la spéléologie et du canyonisme. Ces États généraux se tiendront les 12 et 13 novembre prochains à Méjannes-le-Clap dans le Gard et auront pour thème « La spéléologie et vous ».

L’objectif est de faire en sorte de rapprocher la Fédération de ce que tout le monde appelle communément « la base ». Mais pourquoi ?

Parce que notre Fédération est un ensemble de contraintes et de services et qu’il est nécessaire, pour s’adapter à tous, de demander de temps en temps l’avis de chacun, comme en politique avec un référendum. Pour ma part je considère que les services fédéraux sont essentiellement de 4 ordres, dont un acronyme facile à retenir peut être AFPS :

Pour pouvoir réussir le pari ambitieux de l’évolution la Fédération a fait le choix de s’adresser directement à tous les spéléos en leur proposant de répondre à des questionnaires mais aussi en laissant libre des espaces de réponse où chacun pourra donner son sentiment pour aider à enrichir et à grandir notre Fédération.

Certes les 3 questionnaires se composent de 12 pages et nécessitent de prendre du temps pour répondre mais il est important que chacun d’entre nous participe à cet élan. C’est en se prenant en charge et en acceptant de faire cet effort de participation que cette opération prendra tout son sens. L’avis de chacun est important, les océans ne sont jamais qu’une somme de gouttes d’eau : enlevez-en une, il ne se passe rien, mais enlevez-les toutes et c’est la fin. Plutôt que de tout jeter à la poubelle, complétez et renvoyez vos questionnaires ! Et si vous ne disposez plus des papiers mais que vous souhaitez corriger cette erreur, n’hésitez pas à demander de nouveaux questionnaires ou rendez-vous sur le site Internet des États généraux pour les compléter en ligne. Vous pourrez aussi donner votre avis sur la spéléo et la fédération en participant à des forums de discussion sur Internet pour que la Fédération de demain soit celle que vous voulez et non celle que d’autres auront pensé pour vous !

http://etats.generaux.ffspeleo.fr

Quarante ans après...
- Dominique JACQUEMIN -

« Ce qu’on te reproche, cultive le, parce que c’est toi . »
Jean COCTEAU


Lire le prologue paru dans SIMM n°18

SPÉLÉOLOGUE
- 1ère partie -

1965. Je suis spéléologue, avec tous les moyens dont on a besoin pour pratiquer une telle activité.
Les garçons (et filles ; il y en a deux) qui m’encadrent sont mes aînés d’au moins dix ans puisque certains conduisent déjà.
Notre champ d’action est en priorité les grottes de Pierre-la-Treiche, une petite commune au bord de la Moselle, une vingtaine de kilomètres à l’Ouest de Nancy. Ces belles petites grottes où l’on est plus souvent à quatre pattes que debout, vont me procurer les joies d’une activité saine et ludique. Nous y ferons même de nouvelles découvertes. De la première, comme il est dit dans le jargon de spéléo.
Un gouffre, la Grimo Santé, proche de la ville de Pont à Mousson, nous change de la progression horizontale puisqu’il demande, pour son exploration, d’utiliser corde et échelles. Sa profondeur est de 40 mètres, pour un développement de 90 mètres et le vallon où nous campons et où coule le ruisseau d’Esch est un coin charmant, paisible à souhait.
La grotte du Chaos, toujours sur les bords de la Moselle, entre Maron et Villey-le-Sec, est aussi et très souvent le théâtre de nos investigations spéléologiques. A un tel point, qu’il m’arrive d’y aller en cyclomoteur, aussitôt la sortie du collège pour y bivouaquer. Le week-end est donc consacré à l’exploration de tous ses moindres recoins. Mais c’est surtout l’occasion de s’y retrouver entre copains, pour y passer de bons moments.
Cette grotte développe 1 400 m de galeries, pour une dénivellation de 30 m. Les galeries en diaclase, très étroites et hautes, dominent nettement sur les galeries en joint de strates. Les ramifications, obstruées pour certaines, y sont considérables.
En compagnie de Michel LOUIS, en 1968, nous ferons la découverte d’une modeste salle, au-delà de « la salle terminale ».

Nos sorties ne vont pas se limiter à la région. En effet, Pâque, Pentecôte, Ascension et autres vacances scolaires nous mènent à aller dans une région voisine : le Doubs.
La Franche Comté, très riche en grottes et en gouffres, nous offre une autre dimension de la spéléologie. C’est un des plus vaste massif karstique de France et ses entrées de grottes et de gouffres sont parfois très spectaculaires.

Notre équipement vestimentaire en est encore au stade de la simple combinaison de toile, enfilée par-dessus des vêtements sensés être chauds. Lorsque nous ressortons, nous ressemblons plutôt à des « spéléoloques »... qu’à des spéléologues.
Nous utilisons malgré tout, toute la panoplie de matériel en partie issue de l’escalade et de l’alpinisme. Le casque et son éclairage frontale font désormais partie intégrante de l’équipement individuel. Fini la lampe tenue entre les dents, pendue autour du cou par une ficelle ou tout simplement tenue à la main.
Les week-ends d’exploration sont épiques. C’est l’époque des échelles souples, avec des manœuvres de cordes interminables pour assurer son équipier ; des séances de « gel fesses » mémorables.
Nous allons souvent camper sur le plateau de Bournois, en limite des départements de la Haute Saône et du Doubs. La grotte de la Malatière, avec ses vastes galeries concrétionnées offre une agréable randonnée souterraine de près de 3 km. Le gouffre de Pourpevelle à proximité (il nous arrive d’y aller à pied depuis le campement) nous permet de varier un peu : un puits d’entrée de 10 m, suivi d’une galerie déclive et ébouleuse conduit au-dessus d’un vaste puits de 40 m. Au-delà, la progression se fait dans de belles galeries, entrecoupée de gours et de bassins profonds, nécessitant parfois une immersion jusqu’à la poitrine.
Entre ces deux belles cavités, nous avons aussi le gouffre du Haut des Bois où nous allons, ne serais-ce que quand il y a trop de monde dans l’une ou l’autre cavité. Son puits d’entrée de 40 m et la boue qui se décolle des parois, transforme la remontée aux échelles en un véritable calvaire.
Notre séjour est comblé par pas moins de 5 à 8 heures de spéléo par jour.
L’ambiance qui régnait au sein de cette sympathique petite équipe me convenait bien et les grottes et gouffres que nous explorions étaient tout à fait à la hauteur de mes espérances. J’aimais cette compagnie et cet esprit de franche camaraderie qui surpassait largement mon ennuie professionnel. Mon métier du bâtiment ne me convenait pas du tout ; je sentais que j’étais fait pour bien mieux que ça. J’attendais le week-end avec impatience pour aller en spéléo.
En dehors des sorties en groupe, je ressentais souvent le besoin d’être seul dans la nature et même sous terre. Les cavernes de la région étaient alors bien placées pour satisfaire ce besoin.
Mes parents me répétaient souvent :
« Il est temps que tu ailles à l’armée... ça te fera du bien ! ».

1969. Je suis appelé sous les drapeaux et incorporé dans un régiment de chasseurs parachutistes à Toulouse (9e RCP).
En dehors du fait que je suis dans une arme de têtes brûlées, de branquignols, que j’ai l’impression de perdre mon temps et qui plus est de l’argent car pendant ce temps je ne travaille pas, ces 16 mois d’armée vont être une belle aubaine, car je suis au pied des Pyrénées, au pied de prestigieux massifs karstiques où s’ouvrent des réseaux souterrains qui pour certains sont déjà sur la liste des plus grands de France.
Mes permissions vont être consacrées à ma passion, à une spéléologie que j’appellerai « d’altitude », même si on ne dépasse jamais les 2 000 m d’altitude. Mais les marches d’approches y sont plus longues et sont un avant goût à la conception que je vais avoir plus tard de la spéléologie.
Je suis accueilli par la Cordée Spéléologique Du Languedoc, la C.S.D.L. Une équipe qui affiche déjà une belle découverte à son actif : le gouffre Georges, au-dessus d’Aulus-les-Bains en Ariège.
Ce très beau gouffre possède six orifices d’accès, entre 1 500 et 1 624 m d’altitude. Sa profondeur est de 714 m et l’ensemble se développe sur plus de 3 km, sous les flancs Est du Mont Béas (1 903 m).
Avec la Cordée, je vais avoir un avant goût de la spéléologie en montagne, des fastidieuses marches d’approches, pliés sous le lourd matériel qu’il faut transporter à dos d’homme. D’elle, je garde de merveilleux souvenirs.
La spéléologie y est tellement différente, varié ; des moments savourés, dans des paysages sublimes.
Une des premières sorties avec cette équipe, sera le gouffre du Pont de Gerbaut (- 500 m environ) puis plus tard, la Henne Morte, le Puits de l’If, le Trou du Vent. Tous appartiennent au vaste complexe souterrain, le Réseau Trombe, sur le massif de la Coume Ouarnède (Piémont pyrénéen). Un des premiers réseaux souterrains Français, inscrit sur la liste des plus grands gouffres du monde.

Une fois libéré de ces obligations militaires, je rentre en Lorraine avec des projets plein la tête. Pour commencer, je voudrais abandonner mon métier du bâtiment ; le métier de photographe me plairait bien mais voilà, les places sont chères à cette époque et il serait souhaitable d’aller faire une formation dans une école spécialisée. Je ne m’en sens pas le courage.
C’est en 1973, que je passe le concours de sapeur-pompier professionnel ; un peu par hasard. Je rentre au sein de cette noble profession, en octobre 1974.
Cette profession souffre de techniques anciennes et évolue peu. C’est grâce à mes connaissances en spéléologie et en alpinisme qu’on me propose d’enseigner ces quelques méthodes aux hommes, dans le but de parfaire les techniques de sauvetages, notamment en « milieux périlleux », car je suis convaincu, fort de mes expériences qu’il y a à faire dans ce domaine, sans aller trop loin bien sûr.

Cette malheureuse initiative entraîne des répercutions dans le milieu spéléologique et va me jouer des tours inimaginables, surtout que ma hiérarchie de l’époque m’utilise un peu trop vite à mon goût et qui plus est, n’a pas bien saisi la finalité. La gent spéléologique voit ça d’un mauvais œil et je vais même m’y faire des « ennemis » : la bêtise est aussi vulnérable que la sagesse et l’intelligence ; vouloir réussir est un défi de chaque instant.
Enfin, disons que je suis montré du doigt dans le milieu, moi qui vais pourtant sous terre plus souvent que certains, qui eux, parlent beaucoup plus de spéléo qu’ils ne pratiquent.

Las d’être au milieu d’un tir croisé, je comprends vite que j’ai mieux à faire.
Susceptibilité et incompréhension réciproque ?
Comme je ne veux perdre, ni de l’un, ni de l’autre, je fais la part des choses...
Entre le travail et mon hobby : il y a, à mon sens, une place pour chaque chose... et chaque chose a sa place. On n’agit pas seul, on fait pour que les autres adhèrent et aient ensuite la conviction d’avoir fait évoluer les choses.

J’avoue que la liberté que me procure cette profession va me permettre d’évoluer facilement dans cette passion pour les cavernes et pour la montagne. C’est le début d’une grande aventure. Des moments de bonheur partagé, mêlés à des moments de solitude recherchée. Je découvre, j’innove ; enfin, je vis, à mon rythme, avec des moments forts... et parfois des bas.
L’exploration seul, en technique cordelette, n’a certes été qu’une passade pour moi, mais elle m’a permis de vivre des moments forts, des moments de défis qui ont été déterminant et qui m’ont tout simplement donné l’occasion de prendre confiance en moi.
Aimé être seul sous terre n’est qu’une question de caractère je pense et cette « marginalité » me convient bien, après tout. Elle va même me donner l’occasion de vivre une expérience, pour le moins inattendue : je participe, en temps qu’acteur à la réalisation de quatre films, dont un (SOLO) où je démontre une exploration en solitaire, technique cordelette ainsi qu’une dramatique (Point de non retour) avec le cinéaste et conférencier Alain BAPTIZET. Ceci, dans le cadre des conférences Connaissance du Monde puis pour le compte d’une émission télévisée : les Carnets de l’aventure. Des films qui vont être primés.
Là aussi, aussitôt, je retrouve les critiques. Mais je suis rodé... et les propos passent avec mon indifférence.
J’apprends vite que les spéléos, même entre eux ne sont pas tendre !
Les omniscients, cultivent le culte de la personnalité et ne veulent surtout pas qu’on leur fasse de l’ombre.
J’occulte toutes polémiques. J’ai mieux à faire, après tout.

La spéléologie est ma maîtresse et je lui suis fidèle. Les spéléologues que je rencontre, au hasard de mes visites de gouffres alpins, pyrénéens et caussenards, me font découvrir les plaisirs d’une spéléo bien différente de celle pratiquée ici en Lorraine.
J’arpente les hauts massifs karstiques français (et frontalier) et explore tout ce qui me convient. Mes coups de foudre viennent à partir d’une simple topographie ; puis vient la réputation du massif, sa beauté, son isolement. Chaque gouffre est différent, chaque massif aussi.
J’aime les gouffres d’altitude, on l’a bien compris. Leurs puits taillés à l’emporte pièce, cet enchaînement où l’on quitte une corde pour en reprendre une autre. On y gagne vite en profondeur. J’aime cette ambiance.
Monter pendant deux heures, parfois plus, dans une nature sauvage, inondée de soleil puis passer dix, quinze heures sous terre (voire plus) apporte, au-delà de la fatigue, un parfum de bien-être. Là-haut, sur les dalles de lapiés chauffées par le soleil, on prend son temps pour s’équiper ; on laisse traîner son regard dans le paysage.
L’hiver, il faut monter à ski – peaux de phoque ou à raquettes ; la spéléologie prend là une autre dimension, demandant de notre part un engagement physique et mental sans faille.

J’ai beaucoup de mal à rester dans un club ; je suis instable, vite insatisfait si je ne trouve pas un équipier qui partage les mêmes goûts que moi. Pourtant, j’entreprends des travaux et des recherches spéléologiques sur des massifs de la région, avec une poignée de spéléologues qui deviendront vite des amis. Le résultat est là.

à suivre...

Recyclage de cordes

La corde est composée de polyamide, un matériau 100% recyclable. Abandonnée elle mettra plusieurs dizaines d’années pour se dégrader et polluera durablement notre environnement. Engagé à préserver nos espaces de liberté, l’entreprise de cordes MILLET lance l’opération RECYCLEZ-ÉCONOMISEZ.

Toute corde retournée avant le 31 juillet 2005, quelle que soit la marque, fera l’objet d’une offre de reprise réalisée par Millet et ses distributeurs partenaires à hauteur de 0,35 € le mètre à valoir sur l’achat d’une corde Millet de longueur équivalente ou supérieure. Les cordes reprises seront revalorisées à travers une filière de traitement agréée et certifiée ISO 14 001.

Pour plus d’informations sur cette opération vous pouvez consulter le site de Millet : http://www.millet.fr/millet/fr/newsletter/index_actualites.htm

Les sociétés Expé et Le vieux campeur sont partenaires de l’opération mais vous pouvez aussi rapporter vos cordes dans l’un des magasins partenaires de l’opération et dont la liste est disponibles sur Internet : http://www.mmadconcept.com/millet/tableau_partenaires.htm

Exercice secours départemental

Suite à la demande de la Préfecture le CDS a accepté de participer à un exercice secours conjointement organisé avec les pompiers le samedi 18 juin.

Cet exercice aura lieu dans les grottes de Pierre-la-Treiche (54) à partir de 14 h et permettra de mettre en œuvre l’ensemble des techniques spécifiques au secours en milieu souterrain en cavité horizontale, essentiellement brancardage, mais aussi ponctuellement désobstruction de passages gênants la progression de la civière.

Il est impératif que nous soyons nombreux à cet exercice qui sera observé de prêt par la Préfecture et les autorités.

RÉPONDEZ PRÉSENT CE JOUR-LÀ !

Agenda

le 10 mai :

3e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.

du 14 au 16 mai :

26e Congrès national et Assemblée générale fédérale à Narbonne (Aude). Plus d’informations sur : http://congres.ffspeleo.fr

les 28 et 29 mai :

Exercice interrégional de secours en milieu souterrain à Audun-le-Tiche (57). Plus d’informations dans LISPEL-Info n°2-2005

les 11 et 12 juin :

Rencontres des cadres lorrains au spéléodrome de Nancy. Plus d’informations dans LISPEL-Info n°2-2005

le 14 juin :

4e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.

le 18 juin :

Exercice secours du CDS-54 demandé par la Préfecture. Soyez nombreux à venir !

les 25 et 26 juin :

154e Séminaire Lorrain de Spéléologie dans le Doubs. Au programme : désobstruction, spéléo sportive, projections de films... Un vrai rassemblement lorrain ! Plus d’informations dans LISPEL-Info n°2-2005

du 21 au 28 août :

14e Congrès International de Spéléologie organisé par l’Union Internationale de Spéléologie à Athènes (Grèce). Plus d’informations sur : http://www.14ics-athens2005.gr

les 1er et 2 octobre :

4e Journées Nationales de la Spéléologie (JNS) organisées partout en France. Plus d’informations sur : http://jns.ffspeleo.fr

le 22 octobre :

155e Séminaire Lorrain de Spéléologie. Programme et lieu à définir.

 

Vous souhaitez partir en stage fédéral de spéléo, canyon, plongée souterraine, secours ou autre ?
Le calendrier national des stages fédéraux est disponible sur le site de l’EFS :
http://efs.ffspeleo.fr/stages/index.htm

En savoir plus sur les manifestations spéléologiques ?

Consultez l’agenda fédéral et le calendrier des manifestations sur le site Internet fédéral :
http://agenda.ffspeleo.fr

ainsi que le calendrier de la commission Jeunes : http://coj.ffspeleo.fr/fr/calendrier.html
ou l’agenda du site SpeluncaMundi : http://www.speluncamundi.com/dev/agenda