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Dépôt légal n°1412
- 2e trimestre 2005 auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle
ISSN 1626-1267
Depuis le dernier bulletin 2 Rencontres de Formation en Secours ont déjà eu lieu en mars et avril sur la structure artificielle du mur couvert du gymnase Provençal (quai René 2, Nancy). Ces rencontres ont permis à une dizaine de spéléos de lAssociation Spéléologique du District Urbain Néodomien (ASDUN), du Cercle Lorrain de Recherches Spéléologiques (CLRS) et de lUnion Spéléologique de lAgglomération Nancéienne (USAN) de se retrouver pour apprendre à mettre une victime en civière et découvrir les techniques de manipulation dune civière en puits.
Lors de la première séance les participants se
sont appuyés sur les connaissances de Martial MARTIN
et sur le Manuel du sauveteur du SSF pour monter
et démonter la civière (vieux modèle en toile
des années 70) puis pour tenter de la monter avec une victime
jusquà une plate-forme située à environ
5 mètres de haut. Diverses techniques ont été
essayées comme, la traction par le bas avec un frein-poulie
en blocage, la technique du balancier avec reprise de charge sur
descendeur pour la descente.
La seconde séance a été entièrement
animée par Bertrand BLANCHET, Conseiller technique
adjoint du Doubs demeurant non loin de Nancy, spécialiste
en tests de matériels et cadre sur de nombreux stages du
Spéléo-Secours Français.
Les participants ont alors pu apprendre les dernières recommandations
du SSF quant à la mise en place dune victime dans
une civière, la façon de réaliser et de placer
un nud répartiteur, le vocabulaire commun à
toutes les équipes du SSF quant aux manipulations de civière
sur corde...
De lavis de tous ces séances sont réellement très profitables et très enrichissantes. La formation dispensée y est de qualité et chacun est à même de juger des compétences acquises ou en cours dacquisition. Linformation sur les matériels et leurs usages est même profitable pour la simple pratique spéléo hors du contexte des secours. Ces techniques peuvent servir dans la vie dun spéléo et sont utiles lors déventuels auto-secours si lun des coéquipiers est fatigué ou légèrement blessé (cas où une civière est inutile).
Les 2 prochaines rencontres auront lieu le 10 mai et le 14 juin : nhésitez pas à venir rejoindre le groupe en formation, vous serez les bienvenus !
Pour découvrir en images ce qui sest passé
lors de la 1ère Rencontre : http://photos.speleo.free.fr/category.php?cat=180&expand=34,179,180
Fin février vous avez découvert une grosse enveloppe expédiée par la fédération qui vous présente les États généraux de la spéléologie et du canyonisme. Ces États généraux se tiendront les 12 et 13 novembre prochains à Méjannes-le-Clap dans le Gard et auront pour thème « La spéléologie et vous ».
Lobjectif est de faire en sorte de rapprocher la Fédération de ce que tout le monde appelle communément « la base ». Mais pourquoi ?
Parce que notre Fédération est un ensemble de contraintes et de services et quil est nécessaire, pour sadapter à tous, de demander de temps en temps lavis de chacun, comme en politique avec un référendum. Pour ma part je considère que les services fédéraux sont essentiellement de 4 ordres, dont un acronyme facile à retenir peut être AFPS :
Pour pouvoir réussir le pari ambitieux de lévolution la Fédération a fait le choix de sadresser directement à tous les spéléos en leur proposant de répondre à des questionnaires mais aussi en laissant libre des espaces de réponse où chacun pourra donner son sentiment pour aider à enrichir et à grandir notre Fédération.
Certes les 3 questionnaires se composent de 12 pages et nécessitent de prendre du temps pour répondre mais il est important que chacun dentre nous participe à cet élan. Cest en se prenant en charge et en acceptant de faire cet effort de participation que cette opération prendra tout son sens. Lavis de chacun est important, les océans ne sont jamais quune somme de gouttes deau : enlevez-en une, il ne se passe rien, mais enlevez-les toutes et cest la fin. Plutôt que de tout jeter à la poubelle, complétez et renvoyez vos questionnaires ! Et si vous ne disposez plus des papiers mais que vous souhaitez corriger cette erreur, nhésitez pas à demander de nouveaux questionnaires ou rendez-vous sur le site Internet des États généraux pour les compléter en ligne. Vous pourrez aussi donner votre avis sur la spéléo et la fédération en participant à des forums de discussion sur Internet pour que la Fédération de demain soit celle que vous voulez et non celle que dautres auront pensé pour vous !
« Ce quon te reproche, cultive
le, parce que cest toi . »
Jean COCTEAU
Lire le prologue paru dans SIMM n°18
SPÉLÉOLOGUE
- 1ère partie -
1965. Je suis spéléologue, avec tous les
moyens dont on a besoin pour pratiquer une telle activité.
Les garçons (et filles ; il y en a deux) qui mencadrent
sont mes aînés dau moins dix ans puisque certains
conduisent déjà.
Notre champ daction est en priorité les grottes
de Pierre-la-Treiche, une petite commune au bord de la Moselle,
une vingtaine de kilomètres à lOuest de Nancy.
Ces belles petites grottes où lon est plus souvent
à quatre pattes que debout, vont me procurer les joies
dune activité saine et ludique. Nous y ferons même
de nouvelles découvertes. De la première,
comme il est dit dans le jargon de spéléo.
Un gouffre, la Grimo Santé, proche de la ville de
Pont à Mousson, nous change de la progression horizontale
puisquil demande, pour son exploration, dutiliser
corde et échelles. Sa profondeur est de 40 mètres,
pour un développement de 90 mètres et le vallon
où nous campons et où coule le ruisseau dEsch
est un coin charmant, paisible à souhait.
La grotte du Chaos, toujours sur les bords de la Moselle,
entre Maron et Villey-le-Sec, est aussi et très souvent
le théâtre de nos investigations spéléologiques.
A un tel point, quil marrive dy aller en cyclomoteur,
aussitôt la sortie du collège pour y bivouaquer.
Le week-end est donc consacré à lexploration
de tous ses moindres recoins. Mais cest surtout loccasion
de sy retrouver entre copains, pour y passer de bons moments.
Cette grotte développe 1 400 m de galeries, pour une dénivellation
de 30 m. Les galeries en diaclase, très étroites
et hautes, dominent nettement sur les galeries en joint de strates.
Les ramifications, obstruées pour certaines, y sont considérables.
En compagnie de Michel LOUIS, en 1968, nous ferons la découverte
dune modeste salle, au-delà de « la salle
terminale ».
Nos sorties ne vont pas se limiter à la région.
En effet, Pâque, Pentecôte, Ascension et autres vacances
scolaires nous mènent à aller dans une région
voisine : le Doubs.
La Franche Comté, très riche en grottes et en gouffres,
nous offre une autre dimension de la spéléologie.
Cest un des plus vaste massif karstique de France et ses
entrées de grottes et de gouffres sont parfois très
spectaculaires.
Notre équipement vestimentaire en est encore au stade
de la simple combinaison de toile, enfilée par-dessus des
vêtements sensés être chauds. Lorsque nous
ressortons, nous ressemblons plutôt à des « spéléoloques »...
quà des spéléologues.
Nous utilisons malgré tout, toute la panoplie de matériel
en partie issue de lescalade et de lalpinisme. Le
casque et son éclairage frontale font désormais
partie intégrante de léquipement individuel.
Fini la lampe tenue entre les dents, pendue autour du cou par
une ficelle ou tout simplement tenue à la main.
Les week-ends dexploration sont épiques. Cest
lépoque des échelles souples, avec des manuvres
de cordes interminables pour assurer son équipier ;
des séances de « gel fesses » mémorables.
Nous allons souvent camper sur le plateau de Bournois, en limite
des départements de la Haute Saône et du Doubs. La
grotte de la Malatière, avec ses vastes galeries concrétionnées
offre une agréable randonnée souterraine de près
de 3 km. Le gouffre de Pourpevelle à proximité
(il nous arrive dy aller à pied depuis le campement)
nous permet de varier un peu : un puits dentrée
de 10 m, suivi dune galerie déclive et ébouleuse
conduit au-dessus dun vaste puits de 40 m. Au-delà,
la progression se fait dans de belles galeries, entrecoupée
de gours et de bassins profonds, nécessitant parfois une
immersion jusquà la poitrine.
Entre ces deux belles cavités, nous avons aussi le gouffre
du Haut des Bois où nous allons, ne serais-ce que quand
il y a trop de monde dans lune ou lautre cavité.
Son puits dentrée de 40 m et la boue qui se décolle
des parois, transforme la remontée aux échelles
en un véritable calvaire.
Notre séjour est comblé par pas moins de 5 à
8 heures de spéléo par jour.
Lambiance qui régnait au sein de cette sympathique
petite équipe me convenait bien et les grottes et gouffres
que nous explorions étaient tout à fait à
la hauteur de mes espérances. Jaimais cette compagnie
et cet esprit de franche camaraderie qui surpassait largement
mon ennuie professionnel. Mon métier du bâtiment
ne me convenait pas du tout ; je sentais que jétais
fait pour bien mieux que ça. Jattendais le week-end
avec impatience pour aller en spéléo.
En dehors des sorties en groupe, je ressentais souvent le besoin
dêtre seul dans la nature et même sous terre.
Les cavernes de la région étaient alors bien placées
pour satisfaire ce besoin.
Mes parents me répétaient souvent :
« Il est temps que tu ailles à larmée...
ça te fera du bien ! ».
1969. Je suis appelé sous les drapeaux et incorporé
dans un régiment de chasseurs parachutistes à Toulouse
(9e RCP).
En dehors du fait que je suis dans une arme de têtes brûlées,
de branquignols, que jai limpression de perdre mon
temps et qui plus est de largent car pendant ce temps je
ne travaille pas, ces 16 mois darmée vont être
une belle aubaine, car je suis au pied des Pyrénées,
au pied de prestigieux massifs karstiques où souvrent
des réseaux souterrains qui pour certains sont déjà
sur la liste des plus grands de France.
Mes permissions vont être consacrées à ma
passion, à une spéléologie que jappellerai
« daltitude », même si on ne
dépasse jamais les 2 000 m daltitude. Mais
les marches dapproches y sont plus longues et sont un avant
goût à la conception que je vais avoir plus tard
de la spéléologie.
Je suis accueilli par la Cordée Spéléologique
Du Languedoc, la C.S.D.L. Une équipe qui affiche déjà
une belle découverte à son actif : le gouffre
Georges, au-dessus dAulus-les-Bains en Ariège.
Ce très beau gouffre possède six orifices daccès,
entre 1 500 et 1 624 m daltitude. Sa profondeur est de 714
m et lensemble se développe sur plus de 3 km, sous
les flancs Est du Mont Béas (1 903 m).
Avec la Cordée, je vais avoir un avant goût de la
spéléologie en montagne, des fastidieuses marches
dapproches, pliés sous le lourd matériel quil
faut transporter à dos dhomme. Delle, je garde
de merveilleux souvenirs.
La spéléologie y est tellement différente,
varié ; des moments savourés, dans des paysages
sublimes.
Une des premières sorties avec cette équipe, sera
le gouffre du Pont de Gerbaut (- 500 m environ) puis plus
tard, la Henne Morte, le Puits de lIf, le
Trou du Vent. Tous appartiennent au vaste complexe souterrain,
le Réseau Trombe, sur le massif de la Coume Ouarnède
(Piémont pyrénéen). Un des premiers réseaux
souterrains Français, inscrit sur la liste des plus grands
gouffres du monde.
Une fois libéré de ces obligations militaires,
je rentre en Lorraine avec des projets plein la tête. Pour
commencer, je voudrais abandonner mon métier du bâtiment ;
le métier de photographe me plairait bien mais voilà,
les places sont chères à cette époque et
il serait souhaitable daller faire une formation dans une
école spécialisée. Je ne men sens pas
le courage.
Cest en 1973, que je passe le concours de sapeur-pompier
professionnel ; un peu par hasard. Je rentre au sein de cette
noble profession, en octobre 1974.
Cette profession souffre de techniques anciennes et évolue
peu. Cest grâce à mes connaissances en spéléologie
et en alpinisme quon me propose denseigner ces quelques
méthodes aux hommes, dans le but de parfaire les techniques
de sauvetages, notamment en « milieux périlleux »,
car je suis convaincu, fort de mes expériences quil
y a à faire dans ce domaine, sans aller trop loin bien
sûr.
Cette malheureuse initiative entraîne des répercutions
dans le milieu spéléologique et va me jouer des
tours inimaginables, surtout que ma hiérarchie de lépoque
mutilise un peu trop vite à mon goût et qui
plus est, na pas bien saisi la finalité. La gent
spéléologique voit ça dun mauvais il
et je vais même my faire des « ennemis » :
la bêtise est aussi vulnérable que la sagesse
et lintelligence ; vouloir réussir est un défi
de chaque instant.
Enfin, disons que je suis montré du doigt dans le milieu,
moi qui vais pourtant sous terre plus souvent que certains, qui
eux, parlent beaucoup plus de spéléo quils
ne pratiquent.
Las dêtre au milieu dun tir croisé,
je comprends vite que jai mieux à faire.
Susceptibilité et incompréhension réciproque ?
Comme je ne veux perdre, ni de lun, ni de lautre,
je fais la part des choses...
Entre le travail et mon hobby : il y a, à mon sens,
une place pour chaque chose... et chaque chose a sa place. On
nagit pas seul, on fait pour que les autres adhèrent
et aient ensuite la conviction davoir fait évoluer
les choses.
Javoue que la liberté que me procure cette profession
va me permettre dévoluer facilement dans cette passion
pour les cavernes et pour la montagne. Cest le début
dune grande aventure. Des moments de bonheur partagé,
mêlés à des moments de solitude recherchée.
Je découvre, jinnove ; enfin, je vis, à
mon rythme, avec des moments forts... et parfois des bas.
Lexploration seul, en technique cordelette, na certes
été quune passade pour moi, mais elle ma
permis de vivre des moments forts, des moments de défis
qui ont été déterminant et qui mont
tout simplement donné loccasion de prendre confiance
en moi.
Aimé être seul sous terre nest quune
question de caractère je pense et cette « marginalité »
me convient bien, après tout. Elle va même me donner
loccasion de vivre une expérience, pour le moins
inattendue : je participe, en temps quacteur à
la réalisation de quatre films, dont un (SOLO)
où je démontre une exploration en solitaire, technique
cordelette ainsi quune dramatique (Point de non retour)
avec le cinéaste et conférencier Alain BAPTIZET.
Ceci, dans le cadre des conférences Connaissance
du Monde puis pour le compte dune émission
télévisée : les Carnets de laventure.
Des films qui vont être primés.
Là aussi, aussitôt, je retrouve les critiques. Mais
je suis rodé... et les propos passent avec mon indifférence.
Japprends vite que les spéléos, même
entre eux ne sont pas tendre !
Les omniscients, cultivent le culte de la personnalité
et ne veulent surtout pas quon leur fasse de lombre.
Jocculte toutes polémiques. Jai mieux à
faire, après tout.
La spéléologie est ma maîtresse et je lui
suis fidèle. Les spéléologues que je rencontre,
au hasard de mes visites de gouffres alpins, pyrénéens
et caussenards, me font découvrir les plaisirs dune
spéléo bien différente de celle pratiquée
ici en Lorraine.
Jarpente les hauts massifs karstiques français (et
frontalier) et explore tout ce qui me convient. Mes coups de foudre
viennent à partir dune simple topographie ;
puis vient la réputation du massif, sa beauté, son
isolement. Chaque gouffre est différent, chaque massif
aussi.
Jaime les gouffres daltitude, on la bien compris.
Leurs puits taillés à lemporte pièce,
cet enchaînement où lon quitte une corde pour
en reprendre une autre. On y gagne vite en profondeur. Jaime
cette ambiance.
Monter pendant deux heures, parfois plus, dans une nature sauvage,
inondée de soleil puis passer dix, quinze heures sous terre
(voire plus) apporte, au-delà de la fatigue, un parfum
de bien-être. Là-haut, sur les dalles de lapiés
chauffées par le soleil, on prend son temps pour séquiper ;
on laisse traîner son regard dans le paysage.
Lhiver, il faut monter à ski peaux de phoque
ou à raquettes ; la spéléologie prend
là une autre dimension, demandant de notre part un engagement
physique et mental sans faille.
Jai beaucoup de mal à rester dans un club ; je suis instable, vite insatisfait si je ne trouve pas un équipier qui partage les mêmes goûts que moi. Pourtant, jentreprends des travaux et des recherches spéléologiques sur des massifs de la région, avec une poignée de spéléologues qui deviendront vite des amis. Le résultat est là.
La corde est composée de polyamide, un matériau 100% recyclable. Abandonnée elle mettra plusieurs dizaines dannées pour se dégrader et polluera durablement notre environnement. Engagé à préserver nos espaces de liberté, lentreprise de cordes MILLET lance lopération RECYCLEZ-ÉCONOMISEZ.
Toute corde retournée avant le 31 juillet 2005, quelle que soit la marque, fera lobjet dune offre de reprise réalisée par Millet et ses distributeurs partenaires à hauteur de 0,35 le mètre à valoir sur lachat dune corde Millet de longueur équivalente ou supérieure. Les cordes reprises seront revalorisées à travers une filière de traitement agréée et certifiée ISO 14 001.
Pour plus dinformations sur cette opération vous pouvez consulter le site de Millet : http://www.millet.fr/millet/fr/newsletter/index_actualites.htm
Les sociétés Expé et Le vieux campeur sont partenaires de lopération mais vous pouvez aussi rapporter vos cordes dans lun des magasins partenaires de lopération et dont la liste est disponibles sur Internet : http://www.mmadconcept.com/millet/tableau_partenaires.htm
Suite à la demande de la Préfecture le CDS a accepté de participer à un exercice secours conjointement organisé avec les pompiers le samedi 18 juin.
Cet exercice aura lieu dans les grottes de Pierre-la-Treiche (54) à partir de 14 h et permettra de mettre en uvre lensemble des techniques spécifiques au secours en milieu souterrain en cavité horizontale, essentiellement brancardage, mais aussi ponctuellement désobstruction de passages gênants la progression de la civière.
Il est impératif que nous soyons nombreux à cet exercice qui sera observé de prêt par la Préfecture et les autorités.
3e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.
26e Congrès national et Assemblée générale fédérale à Narbonne (Aude). Plus dinformations sur : http://congres.ffspeleo.fr
Exercice interrégional de secours en milieu souterrain à Audun-le-Tiche (57). Plus dinformations dans LISPEL-Info n°2-2005
Rencontres des cadres lorrains au spéléodrome de Nancy. Plus dinformations dans LISPEL-Info n°2-2005
4e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.
Exercice secours du CDS-54 demandé par la Préfecture. Soyez nombreux à venir !
154e Séminaire Lorrain de Spéléologie dans le Doubs. Au programme : désobstruction, spéléo sportive, projections de films... Un vrai rassemblement lorrain ! Plus dinformations dans LISPEL-Info n°2-2005
14e Congrès International de Spéléologie organisé par lUnion Internationale de Spéléologie à Athènes (Grèce). Plus dinformations sur : http://www.14ics-athens2005.gr
4e Journées Nationales de la Spéléologie (JNS) organisées partout en France. Plus dinformations sur : http://jns.ffspeleo.fr
155e Séminaire Lorrain de Spéléologie. Programme et lieu à définir.
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