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S I M M n°20
Le trimestriel d’information du
Comité Départemental de Spéléologie
de Meurthe-&-Moselle (54)

Dépôt légal n°1412 - 3e trimestre 2005 auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle
ISSN 1626-1267

Se former aux secours : 2e saison
- Christophe PREVOT, président du CDS -

Après les 4 séances de formation qui ont eu lieu entre mars et juin voici le moment de préparer la 2e saison de ces Rencontres de Formation Secours en élaborant des documents et un programme diversifié.

Cette 2e saison se déroulera encore au mur du gymnase provençal entre octobre et décembre. L’objectif sera de se remémorer et de parfaire les techniques vues lors de la 1ère saison (mise en civière d’une victime, réalisation d’un nœud répartiteur, mise en place et gestion d’un balancier, reprise de charge, commandes vocales...) grâce à un mémento qui sera distribué à tous les participants. Mais il faudra aussi aller plus loin avec la mise en place de palans et de tyroliennes, parfaire le déploiement d’un point chaud sur une victime... Tout ceci sera donc abordé dans les prochaines RFS avec la sympathique participation de Bertrand BLANCHET, Conseiller technique adjoint du Doubs demeurant non loin de Nancy, spécialiste en tests de matériels et cadre sur de nombreux stages du Spéléo-Secours Français.

Par la suite les RFS se déplaceront en milieu souterrain sur quelques week-end pour tester en grandeur réelle tout ce qui a été vu mais aussi faire participer tous ceux qui ne peuvent se déplacer les mardis soirs et voudraient néanmoins bénéficier de ces Rencontres.

Les prochaines Rencontres auront lieu les 18 octobre, 15 novembre et 13 décembre : n’hésitez pas à venir rejoindre le groupe en formation, vous serez les bienvenus !

Pour découvrir en images ce qui s’est passé lors des Rencontres : http://photos.speleo.free.fr/category.php?cat=179&expand=34,179

Quarante ans après...
- Dominique JACQUEMIN -

« Ce qu’on te reproche, cultive le, parce que c’est toi . »
Jean COCTEAU


Lire la 1ère partie parue dans SIMM n°19

SPÉLÉOLOGUE
- 2e partie -

Une autre discipline vient compléter mes activités : l’escalade.
Celle-ci me procure, outre des sensations remplies d’adrénaline, équilibre, agilité et surtout facilité de franchir certains passages retrouvés sous-terre. Je retrouve aussi de bons moments passés sur les rochers, avec des amis.
L’escalade a beaucoup évolué entre le milieu des années 70 et la fin des années 80 et le microcosme des grimpeurs aussi, qui eux, dégagent une grande marginalité. Grimper est avant tout une pratique gestuelle ; le grimpeur s’exprime avec son corps : grâce d’un mouvement et perfection de l’enchaînement des gestes et des voies.
Les spéléos qui grimpent en rocher, en école d’escalade, ne sont pas nombreux mais il y en a tout de même et j’en connais quelques-uns.
Il m’arrive, l’été, d’aller sous-terre le matin, à la grotte du Chaos ou à Pierre-la-Treiche puis l’après-midi de grimper au soleil, sur le rocher école de Maron.
Un endroit magnifique qui domine la Moselle, aux portes de Nancy. Je finis par franchir du 6a en tête.
Je grimpe en Meuse, en Belgique, sur les Hautes Vosges, dans les calanques de Cassis, Sainte Baume et Sainte Victoire puis à Saint Jeannet (Alpes Maritimes) et encore dans les Gorges de la Jonte (Causse Méjean). Grimper est sain pour le corps et l’esprit.

Mes plus beaux moments sont cachés dans une multitude d’actions, dans tout ce que j’entreprends et qui d’ailleurs tourne autour du même sujet. Tout me conduit à la nature, en qui j’ai toute confiance puisque j’y trouve mes plaisirs. Un bonheur immense et fugace.

J’avais le sentiment qu’il manquait quelque chose à mon actif : le siphon qui termine une grotte, un gouffre, ou sinon leur résurgence. Il y avait là comme un gros point d’interrogation, une impression que la caverne n’était pas terminée. Je me suis alors mis à plonger.
La décision n’était qu’un pas à franchir : je plongeais déjà depuis un bon moment dans le cadre de ma profession. J’en avais fait ma spécialité.
J’avais la technique, j’avais le mental, il ne me manquait plus qu’à m’équiper en conséquence et... me jeter à l’eau.
Je commence par plonger des petits siphons en Meuse, en Haute-Marne, dont un en première (l’émergence du Cul du Cerf). Ce n’était pas grand chose, mais j’y trouvais tout de même du plaisir.
Ensuite, je m’oriente vers les siphons de Franche Comté, une région spéléologique que j’affectionne ; on peut le comprendre. Quelques plongées en fond de trou (la Réverotte, Martinvaux, le Gros Gadeau, la Châtelaine...) et en résurgence (le Gour à Bouclans, la source Bleue de Cusance, la Combe du Creux à Geney, la source du Dessoubre à Consolation-Maisonnettes...). Je finis par acquérir juste ce qu’il faut de mental et de technique dans cette discipline, tout en sachant que je suis encore limité dans certaines situations.
Je poursuis ensuite, sous des cieux plus cléments, dans de belles et grandes classiques de la plongée-spéléo : dans le Lot, l’Hérault et l’Ardèche.

1989. J’organise une campagne de désobstruction en plongée, dans une puissante résurgence du Doubs.
La source de Gourdeval est la sortie des eaux d’un vaste système souterrain : le collecteur de Malatière – Pourpevelle et d’autres phénomènes qui contribuent à son alimentation.
Une belle aventure humaine, avec des copains qui apportent la gaieté et les compétences nécessaires dans ce genre d’entreprise. Une belle aventure qui va durer 7 ans, pour se terminer sur un sentiment frustrant : la caverne, pour une fois, nous dominait.
Puis, je me rendais compte que je ne pouvais aller au-delà, je n’en avais plus les capacités. Je quittais alors soudainement la plongée ; sur un simple coup de tête.

Je voyais aussi que je délaissais les membres du CLRS, eux qui ne plongent pas. Que les lapiaz et les gouffres me manquaient énormément.
Je retrouvais alors ce havre de paix, l’intimité d’une nature séduisante et attachante et je renouais rapidement avec mon club, avec ses prospections, ses désobstructions et ses petits bouts de découvertes, quand la chance lui sourit.
Une page est tournée, je retrouve les plaisirs partagés de quelques belles sorties entre nous. Parfois l’appel de la solitude, plus par goût que par nécessité, m’amène à aller seul sur le terrain. Ceux qui ne peuvent évoluer qu’en étant encadré ou entouré ne peuvent comprendre.

Nous apprécions la visite de belles classiques ; quoique ce n’est pas dans nos habitudes. Nous dirons qu’elle vient simplement combler un manque.
En revanche, la prospection et la désobstruction occupent beaucoup plus de place dans notre activité.
La prospection, que ce soit en forêt et à quelques minutes des voitures ou sinon sur un haut massif, à plusieurs heures de marche d’approche, est un moment agréable et efficace : elle permet de mieux comprendre la genèse d’un massif et, le fait que celui-ci aurait été déjà vu, n’est pas un argument de conclusion ; chacun voit différemment.
Nous avons l’œil aiguisé ; chacun de nous est toujours attiré par le moindre indice, la moindre dépression où, un petit coup de barre à mine et hop...
Nous vivons au gré de nos envies, de nos besoins et de notre liberté et nous sommes animés par un puissant moteur : la volonté d’aller au bout de ce que nous avons entrepris.
Chacune de nos séances est mentionnée par des notes et des relevés (collationner les observations mettre en forme et archiver est indispensable).
Pas besoin d’aller très loin pour voir de belles choses. Tout est beau, dans chaque pays, mais à une échelle différente.
Un pur moment de bonheur pour un spéléologue-randonneur, que d’avoir eu l’idée d’associer ces deux activités, pour le plaisir simple de contempler et d’aimer un univers minéral, sauvage et immuable.
C’est pour ça que j’adore ces endroits. Je les aime aussi pour leur pouvoir de guérison lorsque ça va mal : la vie est ainsi faite, de hauts et de bas.
Que voulez-vous, j’ai l’entêtement et le goût de la terre que l’on attribue généralement aux natifs du capricorne que je suis.

Une autre originalité de mon caractère, est de photographier systématiquement tous les endroits où je vais ; sur terre comme sous-terre.
Mes nombreux déplacements sur ces massifs karstiques isolés m’ont permis aussi de photographier des animaux sauvages : des rencontres au hasard d’un chemin, ou sinon, grâce à une approche silencieuse.
Je ne compte pas les heures passées à observer, à savourer puis à fixer sur la pellicule ces moments précieux, si chers à mon esprit curieux et admiratif. J’ai la nature au cœur... et à l’œil.

Me restait-il encore quelque chose à faire ?
Et bien, j’aime écrire et le concrétiser par la réalisation d’un ouvrage devrait me procurer le plaisir et la satisfaction d’offrir un moyen à ceux qui, comme moi, veulent vivre la nature dans toutes ses dimensions.
« Découvrir les plus hauts massifs karstiques français et leurs abîmes » est terminé. Un topo-guide en sorte, de 200 pages, avec descriptions, schémas et photos, où une vingtaine de massifs y sont décrits. Près de 80 randonnées sur les lapiaz, près de 80 cavités, du -1000 à la petite grotte facile. Donner l’envie, par une simple randonnée, d’aller voir ne serait-ce que l’entrée d’un trou ; donner l’envie de découvrir tout un univers, sans se contenter d’aller tout simplement sous-terre. Pour comprendre en fait.

Au diable les préjugés, je prospecte dans le milieu fédéral : Spelunca Librairie m’est conseillé comme co-éditeur. Entretiens téléphoniques et échanges de courriers avec son responsable qui... quelques mois plus tard, hélas, décède. Depuis, plus rien.
Une maison d’édition spécialisée que nous connaissons tous et qui vante, dans son magazine, son accueil de « jeunes auteurs » me contacte : avide et intéressé, le créateur de ce magazine veut juger sur le texte (ce sont ses propos).
Que de temps passé sans réponse, que de démarches entreprises sans jamais aboutir. Que de déceptions.
Alors... bien venu dans le monde de l’édition et dans le rôle de la galère...

Je me suis décidé à frapper à la porte des maisons d’édition par simple défi, comme pour conjurer un vieux handicap.
Mon malheur dans cette histoire, c’est peut être le fait qu’il me manque la notoriété tant bienfaitrice, et le nerf de la guerre pour œuvrer à compte d’auteur.
On n’écrit pas pour faire parler de soi, on écrit pour faire partager.
Je traîne derrière moi le marcheur, le spéléologue, l’autodidacte que je suis. Peut-être qu’en vieillissant, je suis devenu un peu poète, un peu écrivain. Allez savoir !
Ou suis-je tout simplement un rêveur utopiste ?

« Qui peut le plus, peut le moins », et malgré cette glorieuse ambition, je cherche encore. A bon entendeur...

à suivre...

Exercice secours 2005 : bilan
- Christophe PREVOT -

L’exercice secours 2005 a été réalisé sous l’égide de la Préfecture de Meurthe-et-Moselle le samedi 18 juin à partir de 13 h 30. Les objectifs étaient :

Scénario

Un groupe de 3 spéléologues s’est rendu dans les grottes de Pierre-la-Treiche le samedi 18 juin. Après avoir parcouru la grotte Jacqueline et la grotte Ste Reine en matinée, ils se sont dirigés sur la grotte des 7 Salles. Un spéléo a chuté en ressortant du puits de 4 mètres situé dans la Nouvelle Salle (voir dans le site du CDS). Il est tombé au sol, a de multiples contusions et a mal au bassin. Il est trop épuisé pour se déplacer...

Bilan

Un bilan a été établi conjointement par Christophe PREVOT, président du Comité Départemental de Spéléologie de Meurthe-et-Moselle (CDS-54), signataire de la convention d’Assistance technique en secours spéléo, présent sur les lieux à titre d’observateur, et François BOYETTE, Conseiller Technique Départemental en Spéléologie de Meurthe-et-Moselle (CTDS-54) nommé par arrêté préfectoral. Il a été transmis à la préfecture et a permis un retour d’expérience très enrichissant lors d’une réunion en Préfecture le 29 juin. De cette réunion on retiendra pour l’essentiel que :

L’évacuation de la victime n’a pu commencer qu’une fois le cheminement de la civière dégagé, soit 7 heures après le déclenchement de l’alerte. Cet exercice a démontré le lourd travail de préparation d’un sauvetage dans une cavité réputée d’initiation.

Pour ma part je déplore que les équipes spécialisées du SSF-54 (en particulier ASV et transmissions) n’aient pas été rapidement engagées pour compléter et parfaire les premières mises en place réalisées par les équipes du GRIMP. Il me semble fondamental que les volontaires du SSF soient convoqués très rapidement...

De l'usage des descendeurs PETZL

Suite à l’accident mortel au Pot 2 de Gérard AYAD (voir Le P’tit Usania n°83 de juillet 2005), Baudouin LISMONDE a étudié le comportement d’un descendeur PETZL (angle du descendeur, force à exercer sur le brin de corde libre) en fonction du coefficient de freinage global de la corde sur les poulies du descendeur. Le document de 14 pages est téléchargeable (fichier PDF de 521 ko) sur le site du Spéléo Grenoblois du Club Alpin Français (SGCAF).

On retiendra pour conclusions que :
« La descente sur un descendeur non autobloquant est dangereuse du fait du basculement du descendeur quand le coefficient de frottement baisse pour une raison ou pour une autre (argile, tronçon mal lavée). On doit repasser la corde dans un mousqueton. Les deux méthodes (Vertaco ou classique) présentent des avantages et des inconvénients. On remarque tout de même que la méthode classique n’élimine pas la possibilité de basculement, avec les inconvénients, voire le danger, associés. La méthode Vertaco (ou les méthodes dérivées) est la plus efficace en terme de frottement et devra être utilisée chaque fois que la corde est très glissante. La méthode préconisée actuellement par l’EFS, du mousqueton de freinage sur celui du descendeur reste très convenable.

Toutes les techniques utilisées sur corde par les spéléos sont telles qu’un évanouissement (suite à un choc par exemple) doit être sans conséquence : par exemple, passage en vire longé à la corde, franchissement d’un amarrage à la double longe, franchissement d’un fractionnement au cours d’une remontée. Mais la descente fait exception : la plupart des spéléos ne sont pas assurés en cas d’évanouissement. La solution est pourtant connue : on peut s’assurer tout au long de la descente avec un shunt, ou bien passer au descendeur autobloquant.

Mais on connaît la réticence des spéléos pour ces méthodes, car ils trouvent qu’il est désagréable de monopoliser une main pour l’assurance, étant donné que l’autre est utilisée pour tenir la corde. Il ne reste plus de main pour s’écarter de la paroi et éviter les becquets qui peuvent se présenter.

La bonne méthode de descente, qui reste à inventer, est celle qui laissera une main libre et assurera la sécurité.

Mais quand on réfléchit aux différents cas pour lesquels la corde est très glissante, c'est principalement quand elle est neuve. Et on peut se demander pourquoi les fabricants de cordes ne les font pas tremper avant de les vendre. Car il est anormal de vendre un article de sécurité dans une configuration dangereuse. Les spéléos constituent un groupe de pression tout à fait capable de modifier cette dangereuse pratique des constructeurs de corde. Qu’attendent-ils ? »

L'influence des leds sur les compas

Dans Info EFS n°47 du 1er semestre 2005 (disponible en fichier PDF de 620 ko sur le site de l’EFS) on trouve un très intéressant article de Arnauld MALARD intitulé « Leds et topographie ».

Le lièvre avait été levé par quelques topographes et signalé sur la liste de courrier électronique speleos-fr et avait donné lieu à un article dans Le P’tit Usania n°76 de décembre 2004 intitulé « Topographie et électricité ne font pas bon ménage ». En clair les lampes à leds de type Tikka influencent les compas et boussoles !

Arnauld MALARD a donc effectué une série de tests avec diverses lampes à leds et nous livre en une page le bilan de ses constatations. Toutes les éclairages à leds comportant un circuit de régulation, une interrupteur magnétique ou ayant les piles proches peuvent dévier l’aiguille d’un compas, pour atteindre des déviations jusqu’à 10° !

Il convient donc d’être attentif au matériel acheté et de se rappeler qu’en cas de relevés topographiques rien ne vaut une bonne vieille flamme d’acétylène ! On croyait nos callebondes mortes… les voici qui renaissent telles le Phénix !

Rubrique nécrologique

C’est avec regrets que nous vous annonçons le décès dans sa 90e année de Christian CHAMBOSSE (1914-2004), spéléo inventeur de la grotte des Puits (1934) et de la grotte des 7 Salles (1937) à Pierre-la-Treiche (54).

Depuis 1992 il était membre actif et membre d’honneur de l’USAN.

Agenda

du 21 au 28 août :

14e Congrès International de Spéléologie organisé par l’Union Internationale de Spéléologie à Athènes (Grèce). Plus d’informations sur : http://www.14ics-athens2005.gr

du 9 au 11 septembre :

3e Rassemblement interfédéral de descente de canyon à Hauteville-Lompnes (01). Plus d’informations sur http://efc.ffspeleo.fr/depeches/depeche014.htm

du 15 au 17 septembre :

Journées de l’Association Française de Karstologie sur le thème « Grandes vallées lorraines et karstification » à la Maison Lorraine de la Spéléologie. Plus de renseignements auprès de Alain DEVOS (mél. : alain.devos [@] univ-reims.fr) ou Stéphane JAILLET (mél. : Stephane.Jaillet [@] univ-savoie.fr).

les 1er et 2 octobre :

4e Journées Nationales de la Spéléologie (JNS) organisées partout en France. Plus d’informations sur : http://jns.ffspeleo.fr

les 8 et 9 octobre :

15e Rencontre d’Octobre du Spéléo-Club de Paris à Bombois (Ain) sur le thème des reculées ou le raccordement des réseaux karstiques aux vallées.

le 18 octobre :

5e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.

les 22 et 23 octobre :

155e Séminaire Lorrain de Spéléologie à la Maison Lorraine de la Spéléologie (dépollution des carrières de Savonnières-en-Perthois, spéléo et séminaire). Plus d’informations dans LISPEL-Info n°3-2005.

du 22 au 25 octobre :

9e Rassemblement national Jeunes à Montrond-le-Château (25). Plus de renseignements auprès de Thomas SERGENTET (mél. : thomas.sergentet [@] wanadoo.fr) ou Romain GUDIN (mél. : hebus69 [@] msn.com).

du 11 au 13 novembre :

États généraux de la spéléologie, Journées d’étude de l’EFC/EFPS/EFS et réunion des présidents de régions. Plus d’informations sur http://etats.generaux.ffspeleo.fr

le 15 novembre :

6e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.

le 26 novembre :

18e Festival de Spéléologie d’Île de France à Ormesson (94). Plus de renseignements sur http://festival-speleo.org

le 13 décembre :

7e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.

 

Vous souhaitez partir en stage fédéral de spéléo, canyon, plongée souterraine, secours ou autre ?
Le calendrier national des stages fédéraux est disponible sur le site de l’EFS :
http://efs.ffspeleo.fr/stages/index.htm

En savoir plus sur les manifestations spéléologiques ?

Consultez l’agenda fédéral et le calendrier des manifestations sur le site Internet fédéral :
http://agenda.ffspeleo.fr

ainsi que le calendrier de la commission Jeunes : http://coj.ffspeleo.fr/fr/calendrier.html
ou l’agenda du site SpeluncaMundi : http://www.speluncamundi.com/dev/agenda