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(177 ko)Dépôt légal n°1412
- 4e trimestre 2005 auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle
ISSN 1626-1267
C’est maintenant devenu une habitude, pour la sixième année consécutive, l’Assemblée générale du CDS aura lieu le dernier samedi de janvier, à savoir le 28, à NANCY à la Maison des Sports de TOMBLAINE à partir de 16 heures. Conformément aux statuts, seuls les 20 représentants élus des clubs (à savoir, conformément à l’article 7 des statuts : ASDUN : 2 ; ASPA : 2 ; ASSCA : 1 ; CLRS : 1 ; GS-CAF : 1 ; GSL : 1 ; SCL : 3 ; SS-USBL : 1 ; USAN : 7 et Individuels : 1) auront droit de vote mais tous les spéléos du département sont invités à assister et participer aux comptes rendus et débats.
Actuellement le Comité Directeur se compose de 8 hommes et 1 femme. Il reste donc, sur les 12 postes du CD, un poste réservé à un médecin spéléo et 2 postes réservés à des représentantes féminines : Mesdames, présentez-vous ! Les représentants pour l’AG régionale (conformément à l’article 7 des statuts de la LISPEL) restent inchangés puisqu’ils sont désignés pour 4 ans, sauf en cas de démission, abandon de la spéléo... Il nous faudra également désigner 2 vérificateurs aux comptes pour l’année 2006.
L’appel à candidature est donc lancé et sera clôturer le 15 janvier. Si vous êtes volontaire à l’une ou l’autre de ces missions, veuillez vous signaler auprès du Président par voie postale (17, rue de l’Ermitage / 54600 VILLERS-LÈS-NANCY), téléphonique (03.83.90.30.25) ou électronique (christophe.prevot [@] ffspeleo.fr).
À l’issue de l’AG un apéritif sera
servi puis nous pourrons nous retrouver dans un restaurant nancéien
: réservez auprès de Cyril WIRTZ avant
le 10 janvier par voie postale (2, rue Basse / 54115 VANNES LE
CHATEL), téléphonique (03.83.51.78.29) ou électronique
(cyrilwirtz [@] wanadoo.fr).
« Il n’est pas de vent favorable
à celui qui ne sait où il va. »
SÉNÈQUE
Lire la partie précédente parue dans SIMM n°20
ÉPILOGUE
Puis vient ce putain d’accident qui va me plonger dans
une longue immobilité et me laisser des séquelles.
Un automobiliste est venu me « faucher »
sur un passage clouté… et je me suis réveillé…
dans l’ambulance des pompiers !
Bloqué au domicile et immobilisé dans un corset,
la douleur est dans un premier temps assez vive et il m’arrive
de passer des nuits difficiles.
Un peu plus tard, la douleur diminue un peu, je m’organise :
je passe mon temps à lire, à réfléchir…
Je rumine, je ronge mon frein comme on dit, surtout lorsque
les beaux jours arrivent et que je ne peux exercer ce que j’aime
faire dans ce cas.
Privé de mes activités pendant plusieurs mois, j’ai
du mal à accepter…
Ces quelques pages sont, je dois l’avouer, le fruits d’une
longue réflexion. Le fait d’être, peut-être,
face à soi-même.
Il me faut maintenant vivre avec ce handicap, qui fait de moi…
celui que je n’aurais jamais voulu être !
Un peu d’optimisme : je peux comparer ma vie à
un livre, où chaque étape de celle-ci est une page
que l’on tourne.
Ces étapes peuvent être alors belles, ou moroses,
alors les pages sont toute une histoire.
L’heure de ma retraite étant arrivée et
pour quelqu’un qui a vécu cette « boulimie »
dans une activité telle que la spéléologie
sportive, arrive un âge où les motivations ne sont
plus tout à fait les mêmes. J’aspirais à
une activité, dirons-nous, plus tranquille. Sans délaisser
pour autant le monde souterrain où je retournerai pour
y puiser quelques bonnes sensations et y photographier la faune.
Et oui, ma passion pour la photographie resurgie et le désir
de me lancer dans la photographie animalière devient presque
une obsession. Je m’en donne les moyens.
Cette discipline a toujours été pour moi, un
moyen simple, artistique et surtout captivant, de ramener des
images de mes activités de pleine nature.
La photographie est un art, m’a-t-on dit. Je le pense aussi,
et je peux alors être fier de posséder ce don, si
tel est le jugement de ceux qui apprécie ce que je fais.
Une combinaison entre connaissance du terrain, des animaux, des
compétences techniques et un sens artistique développé.
En d’autres termes, il faut savoir observer, imaginer puis
créer dans son esprit la meilleure des images. Car, le
matériel le plus sophistiqué et les objectifs les
plus coûteux ne feraient rien sans l’imagination, la
patience et « l’œil du photographe ».
Avec le temps, ma curiosité s’accentue ; alors,
être en contact permanent avec la nature et sa vie sauvage,
pour figer à jamais sur la pellicule ces instants privilégiés,
m’apporte le goût, le don et la satisfaction.
Aller en forêt, sur un massif en altitude, pour photographier
les animaux sauvages et libres, les surprendre dans leur élément
naturel, me procurera certainement d’autres sensations :
les plaisirs d’une vie nouvelle, comblée.
Une communion avec la nature. Les paysages sont beaux mais le
plus important, c’est d’être là pour les
regarder ; parce que, ce qui m’a attiré vers
elle, c’est d’abord une émotion esthétique.
Devant cet aphorisme, il ne me reste plus qu’un pas :
…passer à l’action !
Je viens alors, en quelques lignes, de décrire une tranche
de vie, somme toute bien remplie et dont les souvenirs sont une
portion de bonheur. La vie continue, à soi de gérer
chaque moment.
Simplement, que maintenant, il faut se diriger vers d’autres
horizons, d’autres motivations afin de pouvoir combler un
manque difficile à admettre.
Si la photographie reste pour moi une passion, et que j’aime
les animaux sauvages, alors autant leur consacrer un peu de mon
temps libre et d’amour. Autant partager avec eux des moments
intenses d’émotions, comme en spéléo,
en immortalisant chaque scène unique qu’ils m’offriront.
Mon bonheur tient à ma présence dans la nature et
à la complicité que j’ai avec elle.
Voilà, à travers cette autobiographie, je voulais
simplement montrer aux jeunes d’aujourd’hui qui débutent
dans la spéléologie mais qui ne sont pas sûr
d’aller très loin dans cette discipline, qu’il
suffit d’aimer ce que l’on fait, de croire en ce que
l’on veut faire, ne prendre enfin que le meilleur pour vivre
pleinement sa passion et alors, ils découvriront peu à
peu l’envoûtement qui ne cessera jamais d’être
leur compagnon tout au long d’une vie de spéléologue
passionné.
En tous cas, si j’ai réveillé pour certains
le désir de changer de ligne de conduite et pour vous,
suscité votre intérêt puis éveillé
votre curiosité, alors c’est que j’aurai, en
partie, atteint le but que je m’étais fixé.
…Ce n’est qu’un « au revoir ».
Depuis quelques années le Comité Départemental Olympique et Sportif de Meurthe-et-Moselle (CDOS-54) organise des formations à destination des dirigeants et responsables de clubs, Comités départementaux et Comité régional. Le programme complet est disponible en téléchargement sur le site du CDOS-54 (http://meurtheetmoselle.franceolympique.com) en rubrique Actions. Dans cette rubrique on trouve aussi une annonce concernant Le CD du dirigeant sportif (cédérom avec des documents et des programmes) ; le CDS en a acheté un en 2004 qui se trouve chez Christophe PREVOT.
Concernant les formations du CDOS voici le programme détaillé :
Cycle Informatique :
L’inscription à l’un des 3 modules est payante
individuellement. Le groupe en formation Informatique est limité
à 14 pour des raisons matérielles.
Cycle Information :
L’inscription à l’un des 5 modules est gratuite.
Cycle Formation :
L’inscription à l’un des 4 modules est payante
individuellement.
Si un dirigeant de club, Comité départemental ou Comité régional ou un membre qui souhaite s’investir pour l’une de ces structures (par exemple pour créer le site du club…) est intéressé, il faut s’inscrire auprès du CDOS-54 en précisant ses coordonnées complètes (nom, prénom, adresse, téléphone, courriel, structure et discipline), en signalant les modules choisis et en joignant le chèque à l’ordre du CDOS-54 (Maison Régionale des Sports / 13, rue jean Moulin / 54510 TOMBLAINE).
Dans les années 60-70 les spéléos meurthe-et-mosellans issus de l’USAN (Union Spéléologique de l’Agglomération Nancéienne ; fondé à Nancy le 3 janvier 1962), de la FéréS (Fédération Régionale de Spéléologie ; fondée à Nancy le 3 janvier 1963 par André CRONEL), du CLRS (Cercle Lorrain de Recherche Spéléologique ; fondé à Nancy le 2 février 1968 par des dissidents de l’USAN et de la FéRéS sous la présidence de Guy VAUCEL) ont mené de nombreuses expéditions dans le Haut Aragon (Pyrénées espagnoles). Un site espagnol de tourisme a remis à l’honneur ces expéditions en relatant une partie de l’histoire de ce massif et dont je viens de trouver trace sur la toile.
Dans un article intitulé « Des années de spéléologie dans la Collarada » on peut lire :
« [...] En 1959, conduits par J.B. Whal, arrivent à Villanúa une poignée de français, qui ont parcouru plus de 1000 km pour passer les vacances estivales à chercher des gouffres. Le GSC d’Alsace rassemble dans son sein quelques gamins du village et de Jaca (J. Esteban, P. Tramullas et d’autres, qui ont fondé le GS Guixas) et par la suite d’autres groupes du nord de la France et de Belgique qui visitent la Collarada et d’autres montagnes voisines, en organisant des camps d’été. Les sigles se multiplient : USAN, FéRéS, CLRS, ESB. Ils commencent la prospection sur les lapié où ils topographient une trentaine de cavités et visitent de nouvelles grottes proches de Villanúa ; les siphons de la grotte des Guixas sont plongés en 1965. Pendant huit ans plus de trente articles sont écrits sur le massif, J. Whal, C. Barbier, P. Schmit, F. Dumont, A. Cronel, P. Vallet, D. Lehmuller sont certains des signataires de ces articles. [...]
En 1968, seul le CLRS de Lunéville continue de travailler sporadiquement animé par C. Barbier, en déplaçant la zone de prospection vers le Rocher Somota, plus à l’Est. Trois ans après, les premiers gouffres d’importance sont découverts dans les hautes parties de la montagne : l’exploration de Accorde Pedrito laissera dans la mémoire des noms comme M. Durand, F. Pelletier, P. et P. Fauvel ; D. Prevot fut le premier à descendre le puits de 110 m du Trou Souffleur.
Mais la tragédie survient. L’accident mortel, en 1972, de J.P. Vilmint dans le siphon des Guixas et le secours contre toute attente de son compagnon S. Viaud par l’équipe GETA, dirigée par E. Petit, constituent l’une des pages les plus épiques de la spéléologie pyrénéenne. Les faits découragent le CLRS qui suspend ses expéditions. [...]
C. Pérignon, qui avait participé six ans auparavant au camp du GSCA, emmène en 1973 ses compagnons du GSPV d’Epinal à la recherche de la grotte mythique décrite par Jeannel. Et ils la trouvent, relevant durant trois ans la topographie de la Buchaquera, en atteignant un dénivellement maximal. Maintenant on trouve des noms comme C. et D. Amet, D. Collin et M. Mery.
Des pirates ! crient les français en 1974 alors que le GIEPE de Sabiñánigo, dirigé par R. Larma, "redécouvre" la Buchaquera et la baptise XB1. La polémique enfle. Les équipes de chaque club se relaient dans des pointes de plus en plus profondes dans une compétition féroce : le GSPV atteint la cote -374, mais durant l’été 1975 le GIEPE descend jusqu’au siphon des Espagnols à la cote -490, mais, sous-équipé, il est surpassé par ses rivaux qui atteignent -540 m où ils sont forcés de s’arrêter faute de corde. Le 25 juillet 1976 les Aragonais réussissent à atteindre le siphon terminal à -607 m. [...]
En 1997, les vétérans du CLRS de Nancy, dirigés par Ph. Vallet, revisitent et topographient le Trou Souffleur. [...] »
A lire dans le texte à la page :
http://www.pirineoglobal.com/portal/pir/index.php/historia/429
Il est bon de rappeler que dans les années 60-70 la descente et la montée des puits s’effectuaient à l’échelle. Atteindre -500 était un véritable exploit que le spéléo moderne ne peut imaginer : un kit standard contenait 50 m d’échelles et la corde d’assurance correspondante en diamètre 10 voire 11 mm, les mousquetons étaient en acier… Les équipes étaient donc nécessairement nombreuses et lourdes, la progression verticale était lente et épuisante...
La Fédération Française des Clubs Alpins et de Montagne (FFCAM) vient d’annoncer que son nouveau contrat d’assurance, entrant en vigueur au 1er octobre, couvrira désormais toutes les formations ou stages organisés par d’autres Fédérations (y compris, par exemple, les formations aux secours souterrains organisées par la FFS), ce qui n’était pas le cas auparavant et ce qui posait pas mal de problèmes lors des exercices secours. Les opérations réelles de secours restent malheureusement excluent des garanties… Cela permet néanmoins aux spéléos cafistes d’avoir le droit aux formations qu’ils ne peuvent trouver dans leur propre Fédération. Les cafistes sont également couverts s’ils participent à des activités organisées par un club licencié FFS, à des échanges ou rencontres inter-associatives. Par contre l’encadrement d’activités (ou la prise de responsabilités) au sein d’une association non affiliée à la FFCAM ou au sein d’une fédération autre que la FFCAM est exclu du contrat.
Si l’assurance Responsabilité civile reste obligatoire et indissociable de l’adhésion à la FFCAM, l’Assurance de personne est facultative.
Philippe KERNEIS, directeur de la commission Assurance fédérale, signale d’ailleurs des sinistres récents (dossiers judiciaires) qui concernent ces exclusions (par exemple, un double fédéré FFCAM-FFS assuré CAF a essuyé un refus de garantie sous le prétexte qu’il encadrait au sein d’un club FFS).
Plus de renseignements sur le site de la FFCAM : http://www.ffcam.fr/fr/contratscaf2006.html
Dans le cadre du Fonds National pour le Développement du Sport (FNDS), 5 clubs (les mêmes qu’en 2004) avaient effectué un dépôt de dossier auprès de la Direction Départemental des Sports de Meurthe-et-Moselle (DDS-54). Il est regrettable que 4 clubs aient préféré ne faire aucune demande plutôt que de prendre le temps de compléter les formulaires... Ces clubs ont-ils à ce point si peu besoin d’argent pour fonctionner ?
La spéléologie meurthe-et-mosellane s’est ainsi vue créditée de 3 210 € (soit 230 de plus qu’en 2004) répartis comme ci-dessous. Quelques heures de bénévolat qui auront été rentables pour la communauté spéléo meurthe-et-mosellane, non ?
| Association | Effectif licencié en 2004 (écart 2003) |
Subvention FNDS 2005 (écart FNDS 2004) |
| Comité Départemental (CDS-54) | 175 (+ 9) | 700 € (+ 100) |
| Association Spéléologique du District Urbain Néodomien (ASDUN) | 11 (+ 1) | 200 € (- 20) |
| Groupe Spéléo du club Alpin Français de Nancy (GS-CAF) | 8 (+ 1) | 200 € (- 30) |
| Spéléo-Club de Lunéville (SCL) | 26 (+/- 0) | 650 € (+/- 0) |
| Section Spéléo de l’Union Sportive du Bassin de Longwy (SS-USBL) | 8 (+ 1) | 150 € (+/- 0) |
| Union Spéléologique de l’Agglomération Nancéienne (USAN) | 72 (+ 7) | 1 310 € (+ 180) |
Durant ces derniers mois le site Internet du CDS s’est enrichi de divers documents et informations.
Tout d’abord la page Spéléologie présente un accès à un ensemble important de ressources concernant la pratique de notre activité. techniques, études et achat de matériels, vocabulaire… sont déclinés vers différents sites existants (EFS, EBS…). On y trouve également une information complète (conseils, lieux, horaires, articles de presse, ressources pour les enfants...) quant aux stages mis en place en partenariat avec la Direction Départementale de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative (DDJSVA) pendant les vacances scolaires.
La page Grottes-Gouffres s’est remplie d’un portail Internet concernant la genèse des cavernes, la géologie, la karstologie et la biospéologie. On y trouve également une présentation des plus grandes cavités du département et une présentation complète des grottes de Pierre-la-Treiche avec des articles de Benoît LOSSON, de la géologie et une histoire de la découverte de chaque grotte.
Tout ceci à découvrir pendant vos longues soirées d’hiver sur le site du CDS : http://cds54.ffspeleo.fr
Boris SARGOS, spéléo et canyoniste licencié à l’Union Spéléologique de l’Agglomération Nancéienne (USAN) depuis 1998 a obtenu son monitorat Canyon en juillet 2005 (diplôme de l’Ecole Française de descente de Canyon ou EFC, commission de la FFS). Il vient d’être coopté par Dominique DUCHAMP, responsable Canyon régional, pour prendre le poste de correspondant Canyon pour le département. Boris aura la lourde tâche d’animer une section départementale, de rassembler les pratiquants individuels et des clubs et de mettre en œuvre une nouvelle synergie autour du Canyon, comme par exemple des rencontres, des sorties inter-clubs, des stages, des formations…
Pour en savoir plus sur le canyon : http://cds54.ffspeleo.fr/canyonisme
États généraux de la spéléologie, Journées d’étude de l’EFC/EFPS/EFS et réunion des présidents de régions. Plus d’informations sur http://etats.generaux.ffspeleo.fr
6e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.
18e Festival de Spéléologie d’Île de France à Ormesson (94). Plus de renseignements sur http://festival-speleo.org
9e Journée de la Spéléologie Scientifique à Han-sur-Lesse (Belgique). Plus d’informations sur http://www.speleo.be/ubs/scientifique
7e Rencontre de Formation aux Secours au gymnase Provençal (Quai René 2, Nancy) de 20 h à 22 h.
AG2006 du CDS-54 à la Maison Régionale des Sports (Tomblaine) à partir de 16 h.
AG2006 de la LISPEL à la Maison Régionale des Sports (Tomblaine). Plus d’informations dans LISPEL-Info n°1-2006.
AG2006 de l’AAMLS à la Maison Lorraine de la Spéléologie (Lisle-en-Rigault ; http://maison-lorraine.ffspeleo.fr). Plus d’informations dans LISPEL-Info n°1-2006
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