 |
 |
 |
 |
Cliquez ici pour
télécharger l'édition papier au format PDF
(92 Kio) |
|
|
|
Cliquez ici pour
télécharger l'édition papier au format PDF
(92 Kio)Dépôt légal n°1412
- 3e trimestre 2007 auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle
ISSN 1626-1267
Dans le bulletin précédent (n°27 - 2e trimestre 2007) nous étions informés que "le Groupe spéléo de Bourg Révermont (GSBR) de Bourg-en-Bresse avait reçu début juin la visite d’un contrôleur de la Direction départementale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DDCCRF) concernant la méthodologie de gestion des EPI. Il semble que les échanges ont été fructueux et que le contrôle tenait plutôt de la prise d’information de la part de la DDCCRF."
Le 10 août le directeur de la DDCCRF a adressé un courrier au GSBR avec les conclusions de ce contrôle. Le Président du club est tombé de haut... En effet le courrier stipule que "des manquements aux dispositions de l’article R.233-155 du Code du travail [avaient] été constatés. Il s’agit notamment de l’absence :
La DDCCRF en conclut évidemment que "les équipements de protection individuelle [qu’ils mettent] à disposition des adhérents ne sont pas conformes à la réglementation en vigueur." Le directeur rappelle que la mise à disposition d’EPI non-conformes (NDLR : c’est-à-dire dépourvus des documents administratifs précités...) engage la responsabilité du Président et que les sanctions prévues peuvent être une amende de 3 750 € maximum par infraction constatée. Le courrier s’achève par une incitation forte à se mettre en conformité dans les meilleurs délais.
L’intégralité du courrier est lisible sur les forums fédéraux : http://forum.ffspeleo.fr/viewtopic.php?id=3428
Faut-il le rappeler, le simple fait d’utiliser une corde à plusieurs, le prêt d’un casque à un copain ayant oublié le sien, etc. entre dans le champ de cette réglementation ! Il est donc important que chacun prenne la mesure de cette réglementation et participe à la mise en conformité du club où il adhère.
Et si des spéléos ne sont pas convaincus de la nécessité de cette réglementation il est impératif de réagir en interpelant son député et son sénateur ainsi qu’en réalisant une pétition au niveau de chaque club. Les arguments démontrant la faible portée en terme de sécurité des adhérents ont déjà été étalés dans ce bulletin. Par contre la charge de travail de bénévoles induite est considérable... Une pétition, sur initiative personnelle d’un spéléo, est actuellement disponible sur Internet : http://www.lapetition.be/petition.php?petid=620
Pour mémoire :
L’ensemble de ces références est disponible sur le site du CDS est rubrique Spéléologie, section L’utilisation des EPI.
La loi "oblige" chaque entité utilisant ou prêtant des Equipements de Protection Individuelle (casque corde, mousqueton, etc.) à en faire un inventaire précis et des contrôles réguliers avec fiche de suivi. Deux stages fédéraux sont prévus dans ce domaine le 31 mars dans le Rhône et le 9 juin dans l’Hérault. Chacun peut s’inscrire depuis le site Internet de l’EFS : http://efs.ffspeleo.fr/stages/stg_2007/cal_2007_efs.htm#mat
En parallèle à ces formations, une formation
(incluant la certification) sera organisée en Lorraine
le samedi 29 septembre 2007 à Nancy dans les locaux de
l’USAN (Cité des sports de Nancy-Thermal, avenue Maringer).
Les informations et inscriptions sont à prendre rapidement
auprès de Pierre BUZZI, Président
du CDS-57 (03.83.81.84.67 - pierrot.buzzi [@] wanadoo.fr).
Mercredi 12 septembre le président du Comité, Christophe PREVOT, interviewé par Eva MANGINOIS, du Comité départemental olympique et sportif de Meurthe-et-Moselle (CDOS-54), était invité à venir présenter la spéléologie sur la radio nancéienne Fajet 94,2 de 17h à 17h30. Voici la retranscription de cet échange fort sympathique :
EM : Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue sur Fajet pour une nouvelle émission de Sport Passion. A l’heure de la rentrée des classes pour certains je vous propose de rentrer dans les grottes afin d’explorer une nouvelle activité sportive, en l’occurrence la spéléologie. Pour ce faire j’accueille aujourd’hui Christophe PREVOT. Bonjour !
CP : Bonjour Eva !
EM : Président du Comité départemental de spéléologie qui vous donnera toutes les infos pratiques relatives à sa discipline, puis par ailleurs il nous fera partager sa passion pour les mondes souterrains. Puis l’actu sportive du jour sera consacrée à deux événements de spéléologie à venir, à la fête du Vent et également à la fête départemental du Sport en famille. Voilà, maintenant que vous connaissez le programme hé bien amorçons notre descente souterraine. Alors, pour entrer tout de suite dans le vif du sujet M. PREVOT, j’aurai voulu vous demander un petit peu comment vous définiriez la spéléologie.
CP : Hé bien la spéléologie c’est avant tout une activité exploratoire. C’est moins une activité sportive et plus une activité de découverte et d’aventure dans un milieu inconnu et puis différent de ce qu’on rencontre en extérieur.
EM : On verra par ailleurs les façons justement d’explorer, on va rentrer dans le détail. Première question, à quel on peut débuter cette activité ?
CP : On va dire qu’à partir d’une dizaine d’années ça commence à être intéressant et possible. Il arrive qu’on emmène des enfants un peu plus petits, jusqu’à 6 ans, mais disons que dans ce cas c’est plus de la cavité d’initiation toute facile.
EM : Et bien encadré je suppose...
CP : Et bien encadré, avec beaucoup d’adultes autour. A partir de 10 ans ça commence à être intéressant, les enfants commencent à être autonomes et on peut un petit peu pratiquer des choses diverses.
EM : En Meurthe-et-Moselle justement où est-ce que vous pratiquez ? Où sont vos clubs ?
CP : En Meurthe-et-Moselle on pratique essentiellement à côté de Toul, près du village de Pierre-la-Treiche, où on a un grand secteur karstique. C’est à peu près le seul secteur naturel dont on dispose dans le département. Après on dispose de milieux artificiels, il y a beaucoup d’anciennes mines, sapes, etc. là avec des autorisations auprès des municipalités.
EM : Qu’est-ce qui change fondamentalement entre une grotte naturelle et des sites artificiels ?
CP : Pour la pratique peu de choses. On va dire qu’en termes visuels, en termes de découverte on rencontre à peu près les mêmes choses, par contre c’est au plan législatif, parce que le milieu artificiel il a des propriétaires, il a des obligations légales que n’ont pas les milieux naturels.
EM : Combien de clubs à peu près en Meurthe-et-Moselle ?
CP : En Meurthe-et-Moselle à peu près 9 clubs ce qui rassemble environ 120 licenciés. Nous sommes une petite fédération, la Fédération française de spéléo c’est à peu près 7400 licenciés donc c’est petit par rapport à d’autres fédérations sportives.
EM : Confidentiel, mais on va voir très sympa quand même. Au niveau de la fréquentation de vos licenciés justement, est-ce que c’est une discipline exclusivement masculine, est-ce que vous avez des jeunes ?
CP : C’est une activité assez féminisée puisque on a à peu près au niveau fédéral 20 % de féminines. Le département de Meurthe-et-Moselle est très bien situé puisqu’on a pratiquement 30 % de dames qui pratiquent. Il n’y a pas de restriction au niveau du sexe des participants.
EM : C’est accessible vraiment à tout public.
CP : Absolument.
EM : A partir de 10 ans, c’est ce qu’on disait tout à l’heure.
CP : Oui, tout à fait.
EM : Est-ce que vous pouvez nous dire au niveau matériel de quoi est-ce qu’on a besoin pour pratiquer, pour débuter ?
CP : La première pratique c’est en grotte, une cavité horizontale où il faut très peu de matériel. Le principal c’est un casque pour se protéger la tête, en fait pour éviter de se cogner, une lampe pour s’éclairer, évidemment, puisque sous terre il fait noir et puis des vêtements qui tiennent au chaud puisque sous terre la température moyenne c’est la température de la région donc on va dire que chez nous c’est à peu près 10-11 degrés en atmosphère et puis l’eau est un peu plus fraiche, donc voilà : des vêtements, une lampe, un casque, on peut se lancer déjà dans une grotte, on peut commencer à visiter.
EM : D’accord. Et puis s’amuser un petit peu.
CP : Tout à fait. Après quand on commence à pratiquer dans des gouffres, donc là où il y a des puits, il faut tout un matériel spécifique : des cordes, des baudriers, des poignées, des descendeurs… Tout un matériel mécanique.
EM : Un peu d’escalade, cela ressemble un petit peu, ça avoisine ?
CP : C’est proche de l’escalade un petit peu dans l’esprit, mais cela n’a rien à voir puisque nous, on évite la paroi, c’est-à-dire qu’on est exclusivement sur corde, la descente et la montée dans les puits se fait sur corde, alors qu’en escalade on grimpe sur le rocher ou sur la paroi. En spéléologie, au contraire, c’est humide, c’est boueux, donc on ne peut pas faire confiance à la roche, on pratique au plus dans le vide.
EM : D’accord. On s’imagine bien l’araignée
au bout de son fil, dans un gouffre.
CP : C’est ça, qui descend. La petite bête au
bout de son fil qui descend dans son grand puits, c’est tout
à fait ça.EM : Est-ce que les clubs mettent à
disposition du matériel ?
CP : Oui, en général la plupart des clubs ont du matériel, pour diverses raisons, d’abord parce que c’est un matériel cher. On ne peut pas demander à quelqu’un qui veut débuter l’activité comme ça, d’investir dans un casque équipé qui vaut déjà autour de 130-140 euros, dans une combinaison qui va valoir aussi atour d’une centaine d’euros, sans compter le matériel mécanique personnel. Donc en général les clubs ont du matériel. Et puis le comité départemental, lui, a fait l’acquisition aussi de matériel par le biais de subventions et il prête au niveau des clubs quand ils ont des besoins.
EM : D’accord. On va venir justement aux actions menées par le comité, qui vient en soutien de ses clubs et qui met en place des actions pour développer votre pratique et la faire connaître. Quelles sont les actions que vous menez sur la Meurthe-et-Moselle ?
CP : Le comité départemental a une première action, c’est auprès des centres de vacances pendant les vacances scolaires. C’est vrai qu’on a quelques difficultés parce qu’on a peu de cadres diplômés. Pendant les vacances, avec un partenariat au départ avec Jeunesse et sports et aujourd’hui avec l’ADEPS, on fournit des personnels compétents pour faire de l’encadrement dans les centres dans des grottes écoles, la seule difficulté étant qu’on a peu de monde, petit comité donc peu de personnels.
EM : Peu de cadres ?
CP : Peu de cadres, et puis souvent des gens d’un certain âge, qui ont un travail et qui ne peuvent pas se libérer comme ça, même pendant les vacances, qui prennent sur leurs temps de travail, avec des RTT, etc. pour faire l’encadrement.
EM : C’est des passionnés quoi.
CP : Ce sont des passionnés, la spéléo c’est surtout une activité de passionnés.
EM : Au niveau des clubs, vous avez parlé d’aide matérielle, est-ce qu’il y a d’autres prêts que vous faîtes, d’aides ou soutiens, aux clubs ?
CP : On fait aussi des formations. On a des campagnes de formations. Il faut savoir que la spéléologie c’est une activité où notamment les secours se font par le biais de conventionnement avec les comités départementaux. Les comités départementaux sont conventionnés avec les préfectures, nous sommes reconnus par la Sécurité civile, et donc nous avons des formations sur le secours en milieu souterrain. On a des formations qui se font auprès des clubs, on a des gens des clubs qui viennent se former, se maintenir à jour, pour savoir, pour avoir les techniques les plus au point.
EM : Concrètement, s’il y a un accident en milieu souterrain c’est vous qu’on appelle ?
CP : C’est nous qu’on appelle, en partenariat avec le SDIS, on travaille main dans la main, et c’est nous qui participons à tout ce qui est recherche, sécurisation, etc. Pour toute la partie vraiment souterraine et spéléologique, nous sommes les plus spécialistes puisque les plus grands pratiquants.
EM : Et en matière de formation, de jeunes pratiquants qui voudraient justement renforcer les équipes de bénévoles que vous avez actuellement où peuvent-ils se former, quels diplômes peuvent-ils passer ?
CP : Ils viennent dans les clubs, ils vont pratiquer un certain temps, ils vont apprendre tout ce qui est technique, déjà pour progresser, pour pouvoir explorer des cavités, découvrir des cavités à travers toute la France, et puis d’autres pays, pour se rendre compte que les pratiques dépendent énormément du milieu. Au niveau des diplômes cela va dépendre de leurs choix d’orientations, ils peuvent souhaiter devenir cadre, donc là on a un processus initiateur, moniteur, instructeur. Ils peuvent faire le choix de se lancer dans le secourisme, et là on a des stages spécialisés, mais on a aussi des tas de stages qui s’offrent aux spéléologues puisque c’est une activité aussi de contemplation, par exemple on a des stages photos, et puis on a des stages scientifiques, puisque la spéléologie c’est aussi la connaissance du milieu souterrain.
EM : Donc des activités transversales, où l’activité spéléo est support, en fait ?
CP : Tout à fait. L’activité spéléo est support, le milieu est le support à des tas de pratiques. On trouve chez les spéléologues des gens qui préfèrent gratter avec des pelles, gratter la terre pour faire progresser une cavité qui est bouchée, on va trouver des gens qui eux vont avoir envie de faire de la photo, des gens qui sont plus sportifs, qui veulent aller plus loin, et puis on va trouver des passionnés de l’eau qui étudient comment l’eau s’écoule, qui étudient la pollution. On va trouver des karstologues, des géologues, des paléontologues… On trouve tous ces gens là, toutes ces petites connaissances chez nous.
EM : Il y a moyen de s’amuser quelque soit les attraits ou les passions parallèles qu’on peut avoir, parallèles à la spéléologie.
CP : Tout à fait. Chacun va y trouver quelque chose que va le pousser à y rester, à explorer, à davantage, etc.
EM : D’autres choses que vous mettez en place pour les clubs, également. Vous m’aviez parlé d’une expo itinérante...
CP : On a une expo itinérante, une grande exposition photographique, complètement indépendante, avec grilles caddies, etc. que les clubs, quand ils font des manifestations, peuvent emprunter et mettre en place.
EM : Le contenu en quelques mots ?
CP : Il y a des affiches qui présentent l’activité spéléo, des photographies un peu artistique, de la photographie de concrétions évidemment, et puis des affiches sur la pollution puisque en spéléologie on est témoin de traces de pollution, donc des affiches sur la pollution, sur le fonctionnement d’un karst, de l’eau, le cycle de l’eau parce que la pollution on ne se rend pas toujours compte que ce qu’on fait au dessus cela fait du mal en dessous.
EM : Oui, j’allais dire vous vous rendez compte de la dégradation, à travers de la dégradation des sols, des phénomènes de pollution.
CP : Tout à fait, tout à fait. On retrouve en dessous des choses dont on pense que c’est très dilué en surface, en fait on le retrouve en dessous de manière très concentré.
EM : C’est extrêmement intéressant... On va poursuivre notre exploration spéléologique dans un petit moment, mais je vous propose un petit morceau de musique en attendant...
A suivre...
Dans le cadre du Centre National pour le Développement du Sport (CNDS), 4 clubs (autant qu’en 2006) avaient effectué un dépôt de dossier auprès de la Direction Départemental des Sports de Meurthe-et-Moselle (DDS-54). Malheureusement 2 d’entre eux se sont vus refusés le dossier (l’un pour absence de licencié en 2007 et l’autre considéré comme club ne pratiquant pas dans le département).
La spéléologie meurthe-et-mosellane s’est ainsi vue créditée de 2 450 € (soit 950 de moins qu’en 2006) répartis comme suit :
| Association | Effectif licencié en 2006 (écart 2005) |
Subvention CNDS 2007 (écart 2006) |
| Comité Départemental (CDS-54) | 126 (-28) | 700 € (-50) |
| Section Spéléo de l'Union Sportive du Bassin de Longwy (SS-USBL) | 8 (+/-0) | 150 € (+/-0) |
| Union Spéléologique de l'Agglomération Nancéienne (USAN) | 55 (-9) | 1 600 € (+100) |
Le Conseil général de Meurthe-et-Moselle a également mis en place une aide financière pour permettre l’accès du plus grand nombre à une association sportive : c’est l’opération CAP Sport 54 et se monte aussi à 50 €.
Cette aide est destinée aux personnes en difficultés financières (allocataires du RMI ou ayants droits ou personnes dont le Quotient familial ne dépasse pas 445 €) âgées de plus de 6 ans et résidant dans le département. Pour bénéficier de l’aide il faut également que la personne participe à hauteur de 20 % minimum du coût total de la licence. Afin d’éviter « la tentation » de mal dépenser cette aide, celle-ci n’est pas versée aux intéressés mais directement aux associations sportives qui se doivent d’effectuer l’ensemble des démarches.
Toutes les informations et procédures sont disponibles sur Internet sur le site du CG-54 : http://www.cg54.fr/cg54/pages/fr/918.htm
Dans les mois à venir 4 formations du CDOS-54 sont susceptibles d’intéressés des dirigeants ou futurs dirigeants spéléos :
Un chèque de caution de 10 € est demandé à chaque participant. Il sera retiré en cas d’absence non justifiée. Pour plus d’informations et s’inscrire, appelez le CDOS au 03.83.18.87.54.
L’opération Pass’Loisirs CAF est une opération conjointe de la CAF-54 et du CDOS-54. L’objectif est de facilité l’accès de jeunes de 11 à 16 ans aux clubs grâce à un "bon" de 50 € sur une licence. L’opération a débuté le 1er septembre et dure jusqu’à la fin de l’année civile. C’est un moyen pour tenter d’attirer un jeune public puisque licence (15,35 €) et assurance fédérale (27,25 €) représentent pratiquement l’intégralité du montant du Pass’Loisirs.
Tous les détails sur le site du CDOS : http://meurtheetmoselle.franceolympique.com/art.php?id=5940
du 16 au 22 septembre :
Stage initiateur Canyon organisé par la LISPEL dans les Alpes-Maritimes. Renseignements auprès de Dominique DUCHAMP : 03.83.25.86.70 - aspaduch [@] aol.com
le 29 septembre :
Formation à la gestion des EPI dans les locaux de l’USAN à Nancy
le 30 septembre :
Journée du sport en famille. Rassemblement d’associations sportives au stade intercommunal de Frouard-Pompey, sous l’égide du CDOS-54.
les 6-7 octobre :
6e Journées nationales de la spéléologie et du canyonisme. Voir http://jns.ffspeleo.fr
les 13-14 octobre :
160e Rassemblement régional. Lieu et thème à déterminer...
du 27 octobre au 3 novembre :
Camp spéléo Jeunes dans le Vercors. Renseignements auprès de David PARROT : 03.83.25.74.05 - sunmx [@] free.fr
du 1er au 4 novembre :
Formation Assistance et Secours aux Victimes (ASV) du Spéléo-Secours Français (SSF) à la Maison Lorraine de la Spéléologie (MLS) de Lisle-en-Rigault (55)
|
|
 |
|
|