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S I M M n°29
Le trimestriel d’information du
Comité Départemental de Spéléologie
de Meurthe-&-Moselle (54)

Dépôt légal n°1412 - 4e trimestre 2007 auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle
ISSN 1626-1267

Assemblée générale 2008
- Christophe PREVOT, président du CDS -

L’Assemblée générale du CDS aura lieu le samedi 2 février, au Centre des Ecraignes (6 rue Albert 1er) à Villers-lès-Nancy à partir de 15 heures.

Conformément aux statuts, seuls les représentants élus des clubs (à savoir, conformément à l’article 7 des statuts : ASDUN : 1 ; ASSCA : 1 ; CLRS : 1 ; SCL : 2 ; SS-USBL : 1 ; USAN : 7) auront droit de vote mais tous les spéléos du département sont invités à assister aux comptes-rendus et débats !!!

Cette AG est électorale pour la prochaine olympiade (2008-2012). Tout spéléo licencié du département peut se présenter à l’un des douze postes du Comité directeur, même sans être représentant de club. Parmi ces douze membres, un poste est réservé à un médecin spéléo, trois à des femmes et huit à des hommes.

Je tiens à rappeler qu’après 2 mandats de Président je ne me représente ni à cette fonction, ni au Comité directeur.

De plus l’AG aura à désigner 13 représentants pour l’AG régionale (conformément à l’article 7 des statuts de la LISPEL) du 8 mars et celle de l’AAMLS du 29 mars, ainsi que 2 vérificateurs aux comptes pour l’année 2008.

L’appel à candidature est donc lancé et sera clôturé le 15 janvier. Si vous êtes volontaire, veuillez vous signaler auprès du Président par voie postale (17, rue de l’ermitage / 54600 Villers-lès-Nancy), téléphonique (03.83.90.30.25) ou électronique (cds54 [@] ffspeleo.fr).

À l’issue de l’AG un apéritif sera servi puis nous pourrons nous retrouver dans un restaurant nancéien : réservez auprès de Cyril WIRTZ avant le 10 janvier par voie postale (2, rue basse / 54112 Vannes-le-châtel), téléphonique (03.83.63.00.83) ou électronique (cyrilwirtz [@] wanadoo.fr).

Compte rendu des Journées 2007 de Spéléologie Scientifique
- Benoît LOSSON -

Les Journées de Spéléologie Scientifique ont fêté leur 10ème anniversaire cette année à Han-sur-Lesse (Belgique) les 17 et 18 novembre 2007. Depuis la première édition en 1997, elles n’ont pas pris une ride : au samedi consacré à des communications et des présentations de posters succède une excursion dominicale en surface ou sous terre. Le succès de ces rencontres tient avant tout à une équipe organisatrice parfaitement rodée et efficace (C. Bernard, S. Blockmans, S. Delaby, C. Ek, Y. Quinif, R. Vandenvinne, S. Verheyden, L. Willems).

Cette année encore, la variété et la richesse des exposés ne se sont pas démenties, ce dont témoigne le nombre de participants toujours aussi important (plus de 70 personnes, de 7 nationalités différentes). Malheureusement, certains habitués manquaient au rendez-vous, au premier rang desquels André Slagmolen décédé au printemps (témoignage de Camille Ek).


Les participants devant « la Ferme » qui accueille les JSS depuis leur création (cliché : C. Bernard)

Le Liban était à l’honneur, avec la conférence de F. Nader relative aux karsts de ce pays : de superbes paysages, des potentiels spéléologiques méconnus et des ressources hydrogéologiques essentielles. Les autres communications et les posters se rapportaient à des méthodes d’étude et traitements de données issus du monde souterrain, des outils utiles au spéléo-karstologue, des approches spéléogénétiques régionales du karst, des implications en terme de ressources hydrogéologiques et à la biospéléologie.

Les sessions étaient clôturées par une présentation de l’excursion du dimanche, consacrée au système karstique du Ru de Saint-Hadelin et assurée intégralement par Vincent Hallet.


Aux abords de la Fontaine Saint-Hadelin à Celles (cliché : C. Bernard)

Ce système correspond à un vallon affluent de la vallée de la Lesse à l’est de Dinant. Il est développé dans un pli synclinal dont le cœur calcaire est entouré de terrains gréseux. Les caractéristiques géologiques ont été présentées en détail et avec grande clarté le long de la voie ferrée de la gare de Gendron-Celles (observations du Famennien au Viséen, sur quelques centaines de mètres à peine). Elles révèlent, par la lithologie, les modifications des milieux de sédimentation initiaux, ainsi que la variété des aquifères et ressources hydrogéologiques actuels.

Trois sites ont ensuite été visités au village de Celles et alentours : la résurgence de la Grande Fontaine, la Fontaine Saint-Hadelin, toutes deux instrumentées pour connaître leur fluctuation de débit et l’origine de leurs eaux, ainsi qu’un dépaysant cryptokarst tertiaire révélé par une ancienne exploitation de kaolinite. L’excursion s’est achevée par un arrêt aux pertes situées dans la partie amont du vallon : pertes principales, concentrées et temporaires, récemment comblées à l’aide de gros blocs, au droit du talweg et pertes diffuses alimentées par des écoulements issus des versants gréseux environnants.

Au final, un système karstique très didactique, dont la connaissance scientifique s’est alliée aux parfaites explications de Vincent Hallet.

Rendez-vous donc les 15-16 novembre 2008, à Han-sur-Lesse, pour revivre de bons moments karstologiques !

Interview radiophonique, suite et fin

EM : De retour dans votre émission Sport Passion où je suis toujours en compagnie de Christophe PREVOT. On parlait un petit peu du monde souterrain et en l’occurrence j’avais une petite question, question prix, pratique on va dire. Combien il faut compter dépenser, on va dire licence, adhésion, assurance, tout compris, nous donner une fourchette de prix pour savoir combien on doit compter dépenser pour pouvoir pratiquer ?

CP : Pour pratiquer, la licence fédérale est autour de 30 euros pour les adultes, et après il y a des réductions pour les mineurs, les jeunes, etc. Il y a également une assurance fédérale. Il y a des clubs qui exigent que l’assurance soit prise, d’autres qui font confiance à diverses maisons d’assurance. L’assurance fédérale est à 46 euros avec toujours des réductions demi-tarif. Et puis après il y a une cotisation club qui va varier entre 15 et 40 euros. Donc on va dire qu’on a une fourchette qui va tourner autour de 100-150 euros pour l’adhésion annuelle.

EM : D’accord. Et qui permet, suivant les clubs, de pratiquer de manière ? Vous, vous pratiquez combien de fois par semaine ?

CP : En règle générale, un club va avoir des activités pratiquement tous les week-ends, suivant ses préférences. Quand ce sont des clubs qui font de la prospection ou de la recherche ils vont être souvent sur le terrain pour gratter, pour fouiller. D’autres, qui sont plus à activité sportive, on va les retrouver pratiquement tous les week-ends sur le terrain, et là il n'y a pas de coût de sortie, globalement c’est plus les coûts de déplacements, de frais de bouche, de gite, etc.

EM : On va aller un peu plus profond sous terre, et j’ai bien envie de faire connaître un peu aux auditeurs ce qui se passe sous terre, parce qu'on se dit, après tout, la spéléo qu’est-ce qui se passe quand on fait une sortie spéléo, concrètement. Techniquement, quelles sont les différentes manières d’évoluer sous terre, et puis quelles sont les sensations, les émotions, que vous avez en pratiquant cette activité ?

CP : Les différentes manières d’évolution d’abord. Il y a plusieurs choses. Il va y avoir d’abord de la marche en terrain accidenté, chose qu’on ne voit plus en ville, de la marche au milieu des cailloux, des pierres, avec toujours, il faut imaginer, cette visibilité réduite qu’on a, puisqu’on est dans le noir avec une petite lampe donc c’est déjà, rien que de se déplacer physiquement, debout une difficulté. Après, on va se retrouver dans des passages à quatre pattes, et puis ça va s’abaisser un petit peu donc on va finir par ramper, ramper de plus en plus bas, on va vraiment être allongé, le corps doit s’étirer pour passer dans des tous petits trous !

EM : Des boyaux, c'est cela ?

CP : Des boyaux, des étroitures, des choses comme cela qui peuvent être plus ou moins longues, plus ou moins étroits. Et puis dans les puits on va être confronté au matériel mécanique, donc là il va falloir maîtriser des techniques de descente avec un descendeur spécifique, qui n’est pas le descendeur d’escalade, et puis des techniques de montée sur corde, un système avec des poignées, des poulies, etc. On grimpe le long de son fil, comme l’araignée. L’image de tout à l’heure était très bien. Et puis, dans certaines galeries on va être en opposition, c’est-à-dire qu'on a la paroi de droite, la paroi de gauche, le vide en haut, le vide en dessous, et on passe au milieu, on est en opposition : on oppose les deux parois ; un travail un petit peu de force pour progresser à l’horizontal dans la galerie.

EM : Et la sécurité elle est où ?

CP : La sécurité ? Hé bien il va y avoir une corde qui est tendue avec des points fixes sur des longueurs de 1,5 m, 2 m, 3 m, et un système de longes, de cordes avec des mousquetons, un peu ce qu'on peut voir dans les parcours d’accrobranche, par exemple.

EM : C’est la ligne de vie ?

CP : Oui c’est la ligne de vie. On a un fil pas très épais, de diamètre 8, 9 ou 10 mm, et toute notre vie repose sur ce petit fil. Donc on a des contrôles, on fait attention au matériel. On le contrôle et quand il est usagé, quand il est trop vieux, il faut le jeter et racheter du matériel parce que là, effectivement, c’est la ligne de vie.

EM : Au niveau émotion, sensation, qu’est-ce que vous voyez ? Qu’est-ce qui se passe sous-terre ? parce que déjà, rien que le fait d’être dans le noir ou quasi dans le noir...

CP : Effectivement, il y a déjà le fait qu’on a des lampes qui donnent un certain champ visuel qui est complètement différent de ce qu’on a à l’extérieur. On peut déjà s’amuser en se promenant de nuit et se rendre compte que dans une ville de nuit ce n’est pas du tout comme dans une ville de jour. Après cela, vous savez, certaines personnes avaient appelé le monde souterrain le septième continent parce que ce sont des paysages complètement différents. On peut les comparer, parfois, à des paysages lunaires, à des montagnes et des choses complètement différentes. Les formes de roches, les formes d'érosion sont magnifiques à découvrir, à voir, aussi l’eau qui s’écoule, les cascades et puis toutes les concrétions qu’on peut voir sous terre, de diverses formes. Les plus connues sont les stalactites, les stalagmites. Tout le monde voit encore à peu près ces photos de "piles d'assiettes", ces espèces concrétions qui ressemblent à des piles d’assiettes. Mais il y a plein d’autres concrétionnements, par exemple des perles des cavernes qu’on peut trouver dans la Meuse, on peut trouver aussi des petites géodes, enfin tout plein de choses à voir.

EM : Ça change beaucoup d’une région à l’autre, d’un pays à l’autre ?

CP : Ça change beaucoup parce que cela va dépendre essentiellement de l’action de l’eau. La principale caractéristique des grottes c’est un pays calcaire et c’est l’eau qui a une action chimique et mécanique et qui creuse les grottes, donc en fonction de l’eau, en fonction de l’époque, de l’âge des calcaires, on va trouver des paysages complètement différents, des roches très déchiquetées ou au contraire des roches bien lisses.

EM : Donc en fait, si je résume, on a énormément de choses à découvrir quand on est spéléologue. Il suffit juste de passer dans une autre région ou d’aller à l’étranger pour à chaque fois aller vers de la nouveauté.

CP : Tout à fait. On va explorer complètement un nouveau monde. On parlait de l’étranger, par exemple, quand on va dans un pays chaud comme au Mexique on va trouver des grottes complètement différentes parce que l’eau y est beaucoup plus chaude : on va trouver de l’eau, sous terre, à 20-25°C, de même en Papouasie, en Nouvelle Guinée, etc. on va trouver de la faune, chose qu’on ne trouve pas de trop en France. On va trouver des poissons, des animaux, alors qu’en France l’eau étant un peu fraiche on trouve une petite faune.

EM : Des crapauds ?

CP : Non pas des crapauds. On trouve des toutes petites crevettes blanches. En Slovénie on trouve des protées, qui sont des espèces de petites lézards tout blanc, tout transparent, avec des branchies rouges. Il y a tout un monde faunistique à observer.

EM : Différent de celui qu’on côtoie habituellement.

CP : Oui, complètement différent.

EM : Sur le plan personnel qu’est-ce que ça vous apporte la pratique de la spéléologie, au niveau physique, mental, au niveau relations humaines ?

CP : Au niveau relations humaines, beaucoup, parce que c’est une activité qui se pratique en général en groupe. On va dire que les équipes varient : l’équipe idéale c’est quatre, mais on peut très bien pratiquer, lorsqu’on est dans des activités avec des novices, où on peut se retrouver à 10-12. En termes de relations humaines c’est fantastique parce qu’on apprend à connaître les gens, on apprend à vivre une difficulté. Je dirais que cela se rapproche de l’alpinisme, de la randonnée en montagne. On est vraiment dans une vie de groupe, on vit ensemble, on vit une difficulté ensemble et on doit surmonter ensemble la difficulté.

EM : Et physiquement, c’est un sport. On voit toujours sport égal effort physique : est-ce que c’est plus la technique, plus le physique, les deux, ça dépend ?

CP : Ça dépend d’abord de la cavité qui est pratiquée, qui est explorée. L’effort physique va être bien évidemment très important quand on commence à aller dans des cavités très profondes ou très longues : quand on descend à 1000 mètres de profondeur, ça commence à être très physique. Ça commence à être 20 heures d’exploration, 25h d'exploration, sans dormir.

EM : Pourquoi ? C'est exclu de dormir sous terre ?

CP : Ce n’est pas exclu mais s’il faut dormir sous terre c’est énormément de matériel à emmener en plus : du couchage, des hamacs, de l’isolation, de la nourriture en plus, donc si on peut éviter de dormir, on évite. Evidemment il y a des moments où on ne peut pas se passer de dormir. On va dire qu’au delà de 25-30 heures d’exploration c’est terminé, on est obligé d’envisager un campement mais dans ce cas c’est beaucoup plus de matériel, souvent des équipes beaucoup plus lourdes.

EM : Et des progressions plus lentes...

CP : Et des progressions toujours plus lentes parce que plus de matériels, plus de sacs à emmener.

EM : Qu’est-ce qui vous plait, vous, personnellement, sur cette activité, dans cette activité ?

CP : La beauté des paysages. Je crois que ça c’est... Moi je définis la spéléologie comme une activité contemplative d’un milieu complètement différent.

EM : On va rester sur cette note très positive. Peut-être avez-vous une adresse, un site internet, un email à communiquer à nos auditeurs pour avoir des infos sur les clubs ou sur les formations ?

CP : Le Comité départemental de spéléo de Meurthe-et-Moselle a un site internet : http://cds54.ffspeleo.fr, et sur ce site on trouve toutes les informations à la fois sur la pratique de la spéléologie et puis une activité connexe qu’on a un petit peu oublié, il s’agit du canyonisme. On a beaucoup de pratiquants de canyon chez nous.

EM : Canyonisme et non canyoning ?

CP : Moi je n’aime pas de trop le terme canyoning, parce qu’il vient un peu d’outre-Manche, donc je préfère le terme canyonisme.

EM : Et puis il n’a pas trop la cote en ce moment avec tous les accidents donc on va parler de canyonisme.

CP : Donc sur le site vous trouverez toutes les informations concernant le comité, les clubs de Meurthe-et-Moselle, les cavités de Meurthe-et-Moselle, et puis des coordonnées pour joindre les gens.

EM : Et bien merci beaucoup. En attendant la rubrique suivante, qui va vous concerner également, je vous propose une petite pause musicale. [...] Une actualité sportive très chargée aujourd’hui. Nous allons donc commencer avec la spéléologie : monsieur Prévot qu’y a-t-il au programme prochainement ?

CP : Prochainement, tout d’abord dimanche 16 septembre, c’est bientôt, c’est dans quelques jours, dans le cadre des Journées du patrimoine, l’Union spéléologique de l’agglomération nancéienne, club de Nancy, accueille à la MJC de Clairlieu donc à Villers-lès-Nancy, à côté de Nancy, avec une exposition en libre accès et puis fait l’ouverture du spéléodrome de Nancy : c’est un centre école de spéléologie qui est installé dans une ancienne galerie artificielle d’apport d’eau potable sur Nancy. Les gens peuvent donc découvrir cette galerie très concrétionnée, très jolie, très blanche et puis faire un peu de spéléo parce qu’il y a quand même un petit de 60 mètres, un puits de 30 mètres à remonter et donc découvrir l’activité.

EM : Se tester ?

CP : Voilà, se tester, et découvrir si on est fait pour cette activité.

EM : Si on n’a pas le vertige... Est-ce que vous pouvez nous préciser les horaires ?

CP : On est ouvert de 9h30 jusqu’à 19h au niveau de l’expo et puis les visites spéléos, elles, se font de 9h30 jusqu’à 16h puisque le dernier groupe part vers 16h et va revenir vers 18h30-19h. On peut réserver sur place. Le mieux c’est peut-être de téléphoner un peu avant pour prendre rendez-vous et qu’on rappelle un peu le minimum au niveau matériel, etc. Toujours pareil, les coordonnées sur le site internet du Comité départemental de spéléo.

EM : Dont on rappelle l’adresse.

CP : Dont on rappelle l'adresse, donc : cds54.ffspeleo.fr

EM : Mais il n’y a pas de 3 w.

CP : Et il n’y a pas de 3 w.

EM : Une autre journée ?

CP : Une autre journée le 7 octobre, le dimanche 7 octobre ce sont les Journées nationales de la spéléologie et du canyonisme, donc ce sont des journées organisées par la Fédération française de la spéléologie sur toute la France donc quelle que soit la région vous devriez trouver des activités spéléo. L’Union spéléologique de l’agglomération nancéienne fait une journée découverte dans les grottes de Pierre-la-Treiche à côté de Toul.

EM : Dont on parlait tout à l’heure. Mêmes conditions ?

CP : Pareil.

EM : Accès à tous.

CP : Même plage horaire.

EM : Est-ce qu'il y a une participation financière ?

CP : Oui, dans les deux cas il y a une participation financière individuelle de 5 euros pour l’assurance, et les piles électriques qui vont dans les casques.

EM : Très bien. Hé bien on va clore le chapitre spéléologie. De mon côté je souhaitais vous parler de la septième fête du Vent qui se déroulera samedi et dimanche prochain de 9h à 19h. Ce week-end organisé par le Comité départemental de vol libre vous permettra de découvrir des disciplines telles que le parapente, le deltaplane, le paramoteur, le cerf-volant, le kite, l’ULM, le modèle réduit et des montgolfières également. Au programme de ces deux journées sont prévues des démonstrations, des baptêmes de l’air, de la voltige, des ateliers cerf-volant, des lâchers de ballons et une tombola. Restauration et buvette seront prévus sur place. Côté ambiance la fête sera garantie puisque entre 21h et minuit le samedi soir des feux d’artifice seront tirés entre deux parties d’un concert qui verra un premier groupe appelé Substitute, musique pop-rock, venu du Luxembourg, et puis de Blueskarach, un style un peu plus festif avec un groupe qui vient de Nancy, et enfin Riddimperialism, plutôt reggae, de Nancy. Alors n’hésitez pas puisque l’entrée est gratuite ! Enfin, un petit mot pour terminer, sur la Fête du sport en famille, le 30 septembre à Frouard mais on en parlera plus précisément le mardi 26 septembre. Voilà l’émission touche à sa fin, aussi vais-je laisser monsieur Christophe Prévot conclure : un petit mot à l’intention de nos auditeurs ?

CP : J’espère qu'on verra un maximum de monde dimanche 16 septembre à Clairlieu.

EM : Merci beaucoup, c’est tout ce qu’on vous souhaite. Merci d’être venu nous faire partager votre passion pour la spéléologie et bonne continuation. Le sport c’est fini pour aujourd’hui, place maintenant à 30 minutes de musique, quant à nous on se retrouve comme je vous le disais mercredi 26 septembre, en attendant sportez-vous bien !

Interview intégrale audio téléchargeable sur le site du Comité : http://cds54.ffspeleo.fr/administration

Agenda

du 2 février :

AG2008 du CDS-54 au centre des Ecraignes (Villers-lès-Nancy) dès 15h.

le 8 mars :

AG2008 de la LISPEL à la Maison régionale des sports de Lorraine (Tomblaine).

le 29 mars :

AG2008 de l’AAMLS à la Maison Lorraine de la Spéléologie (Lisle-en-Rigault) dès 9h.

les 29-30 mars :

160e Rassemblement régional : nettoyage et dépollution de la carrière souterraine du village de Savonnières-en-Perthois (Meuse). Contact : commission régionale PEPEL, Daniel PREVOT (daniel.prevot [@] univ-nancy2.fr ou 03.83.27.01.93).

du 12 au 19 avril :

Camp Jeunes de la LISPEL sur les Causses. Contact : commission régionale Jeunes, David PARROT (sunmx [@] free.fr ou 06.32.97.38.32).

le 17 mai :

AG2008 de la FFS

N’hésitez pas à consulter l’agenda de la Ligue Spéléologique Lorraine.
Vous y trouverez de nombreuses activités « de proximité » :
http://csr-l.ffspeleo.fr/?view=programme.php

Vous souhaitez partir en stage fédéral de spéléo, canyon, plongée souterraine, secours ou autre ?
Le calendrier national des stages fédéraux est disponible sur le site de l’EFS :
http://efs.ffspeleo.fr/stages/index.htm

En savoir plus sur les manifestations spéléologiques ?
Consultez l’agenda fédéral et le calendrier des manifestations sur le site Internet fédéral :
http://agenda.ffspeleo.fr